FAQ - tumeurs du côlon
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est ce qu'il existe un traitement pour le syndrôme du côlon irritable?


Le charbon et un trés bon traitement, mai malheureusement, et je parle en connaissance de cause, c'est pas facile d'en finir avec les maux de ventre répété. Il faut aussi que tu trouve les allments qui passe le mieu, et ceux à banir, au moins pendant les periode ou tu souffres. C'est ce que j'ai fait et je m'en sort mieu, même si je continu à avoir des douleur, au moins je sais les gérer.
Et attention, les médicaments trop fortement efficaces pour d'autres peuvent d'irriter un peu plus, c'est ce qu'ils ont tendance à me faire du moins.
Bon courage.
PS: essais de voir un gastrologue.  (+ info)

comment traiter les troubles du côlon,sans avoir prendre des medicaments?


j'ai des troubles du côlon et d'aprés mes connaissances il faut suivre un dur rigime ne manger ni de pattes ,ni de sucrés,ni du café ,ni de frriture,donc quoi faire ,est ce qu'il ya d'autres moyen pour le traiter à part le traitement chimique,et je serais reconnaissants de bien vouloir me répondre.
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rabbi ychafik,
une bonne activité physique régulière, un bon régime riche en fibre et fruit eau, protéines
évites les ferments, les pâtes,
mange le pain d'orge , ça aide énormément!  (+ info)

quelles peuvent être les conséquences sur le côlon d`une alimentation pauvre en fibres alimentaires?


Tout simplement la constipation et risque de cancer du côlon tout simplement.  (+ info)

ma mère a été morte par le cancer du côlon; est ce que c'est héréditaire?


J'ai 40 ans et j'ai peur d'etre victime de cette lache maladie qui ne te donne aucun espoire de vivre,dans le cas de qui que doit-je faire?
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Bonjour Hamid
Les cancers du côlon, sont rares avant 40 ans rapidement ,augmentent de fréquence à partir de la cinquantaine. Entre 40 et 70 ans, l’incidence des cancers coliques double tous les dix ans. L’âge moyen du diagnostic est d’environ 70 ans
Le risque de cancer du côlon est plus élevé lorsqu’un cancer a déjà été diagnostiqué dans la famille proche (parents, fratrie, enfants), surtout si ce cancer est apparu jeune. Globalement, l’existence d’un cancer chez un parent au premier degré multiplierait par deux le risque de cancer.

consulter le site si dessous et fait attention à ta santé le dépistage est obligatoire pour toi
bon courage  (+ info)

lors d'une coloscopie ,observe-t-on le côlon ou l'intestin grêle, ou les 2 ?


on remonte jusqua la valvule de bauhin ;cad le colon
le grele est trop long pour etre accessible(9metres)  (+ info)

Syndrome du côlon irritable ! si vous l'avez comment gérez-vous les désagréments?


http://www.cbip.be/Folia/2002/F29F01D.cfm

Ce site t'aidera probablement

Bon rétablissement ;)  (+ info)

J’ai un problème de côlon et mon médecin ma conseillé de suivre un régime.?


J’ai un problème de côlon et mon médecin ma conseillé de suivre un régime.
Je vous serai très reconnaissant de m’indiquer le régime alimentaire à suivre ?
Merci.
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salut bob,
regime de base d'un gastro enterologue:
-legumes cuits
-viande grillée pas de graisse cuite (poisson)
-éviter les fritures
-fromage a pate dur
-attention clopes et alcool
-boire beaucoup
-manger lentement  (+ info)

Qu'ils sont les symptômes d'un cancer de côlon?


peut on savoire quand est malade tot pour se dépécher chez un medcin à temps.
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Le cancer du colon et du rectum

Le gros intestin, appelé aussi côlon, se situe dans la cavité abdominale où il prend la forme d'un U renversé. Il fait suite à l'intestin grêle dans la fosse iliaque droite puis remonte le long de l'abdomen, qu'il traverse dans sa partie supérieure, pour redescendre ensuite jusque dans la fosse iliaque gauche où il forme une boucle en S (côlon sigmoïde). Il se continue ensuite avec le rectum puis, 15 cm plus bas, avec le canal anal pour se terminer par l'anus. Les tumeurs malignes de l'intestin se développent dans 70 pour cent des cas dans le sigmoïde ou le rectum, issues de la muqueuse (couche interne) ou plus souvent d'un polype (tumeur bénigne qui s'est cancérisée).

Fréquence

Le cancer du côlon et du rectum (ou carcinome rectocolique) est le deuxième cancer le plus fréquent en Suisse. Il touche chaque année environ 3500 personnes (50 sur 100000), hommes et femmes à égalité. Le risque de développer un cancer du côlon ou du rectum commence à l'âge de 40 ans et augmente ensuite progressivement. Dans 60 pour cent des cas, le diagnostic est posé après l'âge de 70 ans.
(Source: Association suisse des registres des cancers, 1983-1987)

Symptômes

Il faut attendre très longtemps, souvent plusieurs mois pour voir apparaître les premiers symptômes qui se déclarent généralement par la présence de sang ou de glaires dans des selles noires, et par des troubles du transit durant plus de trois semaines, caractérisés principalement par une alternance de diarrhées et de constipation. En l'absence de traitement, le cancer du côlon peut provoquer une occlusion intestinale, plus rarement une perforation de la paroi intestinale. Plus tard encore, l'hémorragie chronique qui se produit au niveau de la tumeur provoque une anémie et une perte de poids involontaire.

Causes

Si l'on ne connaît pas encore les causes exactes du cancer du côlon, on pense cependant que certaines maladies inflammatoires graves de l'intestin ainsi que les aliments riches en graisses et pauvres en fibres favorisent son apparition.

On pense par ailleurs que cinq pour cent environ des cancers rectocoliques ont très certainement un caractère familial, c'est-à-dire qu'ils sont favorisés par des gènes héréditaires. On sait par exemple que les enfants, les frères et les soeurs des personnes qui ont eu un cancer du côlon risquent eux aussi de développer cette maladie. Ce risque est particulièrement élevé dans les familles atteintes d'une "polypose familiale". Cette affection est caractérisée par la présence dans le côlon de nombreux polypes, tumeurs bénignes qui se transforment presque toujours en cancer si elles ne sont pas ôtées à temps. Les progrès du génie génétique nous permettront bientôt de rechercher le gène responsable de la maladie chez les enfants de ces familles, de contrôler régulièrement ceux qui le possèdent et de les opérer si nécessaire, tout en évitant des investigations et des craintes inutiles à ceux qui ne le possèdent pas.

Prévention et détection précoce

S'il n'existe aucun moyen vraiment efficace de prévenir le cancer du côlon, il est toutefois vivement recommandé de manger des aliments riches en fibres et de boire beaucoup de liquides. L'exérèse systématique des polypes découverts au cours d'une endoscopie constitue en fait la principale mesure de prévention du cancer du côlon.

Il est tout aussi impossible de pratiquer une détection précoce, par exemple à l'aide d'un auto-examen. La seule façon de déceler le cancer du côlon est de consulter un médecin sans tarder dès l'apparition des symptômes évoqués ci-dessus, à savoir la présence de sang dans les selles et les troubles du transit. Il convient par conséquent d'observer régulièrement l'aspect des selles. La présence de sang ne devrait jamais être imputée à des hémorroïdes, du moins chez les personnes qui ont plus de quarante ans, avant d'examiner entièrement l'intestin par une endoscopie (examen direct à l'aide d'un instrument souple que l'on introduit par le rectum). Quant aux examens qui consistent à détecter la présence invisible de sang dans les selles à la recherche d'une hémorragie chronique, ils peuvent se révéler utiles mais ne sont pas suffisants, car ils ne permettent presque jamais de détecter la tumeur au stade précoce, lorsqu'elle est encore guérissable. Par ailleurs, la présence de sang dans les selles n'est pas toujours le signe d'un cancer du côlon. Le seul moyen de poser un diagnostic avec certitude est l'endoscopie qui permet d'examiner directement, soit la partie inférieure du gros intestin (rectosigmoïdoscopie) où se développent presque toutes les tumeurs de l'intestin, soit l'ensemble du gros intestin (coloscopie).

Enfin, il est vivement recommandé à toutes les personnes :

* qui ont déjà eu un cancer du côlon;
* qui ont déjà été opérées de polypes;
* qui sont atteintes d'une maladie inflammatoire chronique de l'intestin ou
* dont plusieurs membres de la famille directe ont déjà eu un cancer du côlon ou autre (sein, ovaires, utérus, etc.) de se faire suivre régulièrement par un médecin.

Confirmation de diagnostics

Nous l'avons dit, le moyen le plus sûr de poser le diagnostic est d'examiner tout le côlon en pratiquant une endoscopie. Cet examen, sans danger et indolore, se déroule ambulatoirement et possède le grand avantage de permettre le prélèvement de tissus et l'exérèse simultanée de polypes éventuels, qui peuvent se cancériser. Le diagnostic sera confirmé par l'examen histologique des tissus prélevés (biopsie). Enfin, l'ultrasonographie, la radiographie, le scanner et les autres examens de laboratoire permettront de déceler la présence d'éventuelles métastases (p.ex. dans le foie).

Traitement

Le traitement classique consiste à ôter complètement la tumeur, y compris le segment intestinal atteint et le tissu graisseux qui l'entoure et qui contient les ganglions lymphatiques. La continuité entre les deux segments sains est rétablie par une simple suture chirurgicale. L'ablation des tumeurs du rectum situées très bas, tout près du canal anal, et d'un grand nombre de tumeurs rectocoliques, doit inclure l'ablation du canal et du sphincter, et nécessite par conséquent la confection d'un anus artificiel (colostomie) sur le côté gauche de l'abdomen. C'est le cas pour le quart des tumeurs rectales et la moitié des tumeurs rectocoliques. Celles-ci peuvent également être soignées à l'aide de la radiothérapie et de la chimiothérapie, du moins au stade précoce, ce qui permet très souvent d'éviter la colostomie.

L'opération est presque toujours de rigueur afin de prévenir l'hémorragie chronique ou l'occlusion intestinale, même si elle ne permet pas d'obtenir la guérison en cas de métastases. Le traitement chirurgical des cancers rectocoliques est généralement précédé ou suivi d'une radiothérapie et d'une chimiothérapie. Le laser et la cryothérapie (traitement par le froid) se révèlent souvent utiles pour diminuer la taille de la tumeur. Quant à la chirurgie, elle permet aussi de supprimer en partie les métastases hépatiques.

Enfin, les personnes qui souffrent d'une tumeur avancée doivent souvent suivre un traitement médicamenteux après l'opération (immunochimiothérapie adjuvante).

Suivi médical et séquelles

L'opération est généralement suivie de fréquentes défécations et de troubles du transit à cause du raccourcissement de l'intestin. La "phase d'adaptation" dure environ trois mois.

Les personnes qui ont subi une lourde intervention doivent absolument se faire suivre régulièrement par un gastro-entérologue. Par ailleurs, il est vivement recommandé à toutes les personnes qui ont été opérées de l'intestin, quelle que soit la localisation de la tumeur, de se soumettre chaque année à une coloscopie afin de prévenir les récidives et détecter un second carcinome. Si tout se passe bien, on peut espacer les contrôles tous les deux ou trois ans. Quant aux personnes qui ont été opérées d'un cancer du rectum, elles devraient également faire pratiquer une rectosigmoïdoscopie tous les trois mois pendant la première année. Enfin, il convient de déceler à temps d'éventuelles métastases en pratiquant régulièrement des examens de laboratoire (à la recherche des marqueurs tumoraux) et une ultrasonographie du foie et de l'abdomen.

La présence d'une colostomie (anus artificiel) bouleverse la vie de la personne qui la porte. Les selles s'écoulent de façon très irrégulière par l'ouverture et sont recueillies dans une poche de plastique interchangeable, collée à la peau mais imperméable aux odeurs. Dès les premiers jours après l'opération, la personne apprend à manipuler correctement la poche et à soigner la peau tout autour. Les vraies difficultés débutant très souvent lors du retour à la maison et de la reprise d'une vie normale, il ne faut pas hésiter à consulter l'un des nombreux centres de consultation spécialisés ou un groupe d'entraide, qui existent dans toute la Suisse. La Ligue contre le cancer est à la disposition de chacun pour fournir les adresses et numéros de téléphone utiles, ainsi qu'une brochure détaillée qu'elle a publiée sous le titre "une stomie, vivre avec...".

Il faut savoir par ailleurs que l'ablation du rectum et du sphincter anal peut provoquer chez l'homme une impuissance sexuelle partielle. Les problèmes psychologiques qui   (+ info)

dolicho côlon avec béance du cardia?


ma digestion est très difficile et très lente prière me donner des temoignage de personne vivant avec un long côlon
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va voir ce lien :

http://www.vulgaris-medical.com/forum/viewtopic.php?pid=8193

bon courage toi!  (+ info)

la colopathie maladie du colon provoque t elle des malaises ainsi que des troubles du rythme cardiaque ?


J'ai 47 ans je suis colopathe depuis lgtemp ,je ressens souvent des extrasystoles des palpitations genantes je ressens comme si une pression est exercé sur mon coeur par le bas c a d par le ventre probablement le colon je ressens des petites douleures au niveau thoracique gauche qui se soulagent en exerçant une pression sur le cote gauche de l'abdomene qu est ce que ça peut etre ?
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Je crois plutôt que c'est ton état d'anxiété qui génére ta colopathie.
En effet, les colopathies, qu'elles soient spasmodiques ou mucomembraneuses,peuvent être dues à un terrain anxieux.
Il est possible que dans le traitement qui t'a été prescrit, il y ait un médicament à base de béladone ( souvent prescrit dans les cas de colopathies tout comme les tranquillisants,le charbon ou le bismuth), laquelle béladone, ayant pour effet de dilater la pupille, et entre autres d'accélérer les battements du coeur.
Si le médicament que tu prends comprend du sulfate d'atropine (alcaloïde de la béladone),qui a une action sur les spasmes coliques, il se peut que tu fasses une légére intoxication à cette sustance , qui se manifeste par de la tachycardie, et une élévation de la tension artérielle.
Vois le probléme avec ton médecin, mais ces symptômes pourraient venir de là.
Donc, c'est le contraire de ce que tu penses, ce sont tes traitements qui te donneraient ces anomalies , et non pas la colopathie en elle-même.  (+ info)

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