FAQ - névralgie faciale
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Quelle difference entre le RHUMATISME et la NEVRALGIE?


Un rhumatisme et une névralgie peuvent être simultanés...
Le rhumatisme est effectivement une douleur articulaire, et la douleur est véhiculée par des fibres nerveuses... Un rhumatisme mécanique (arthrose) ou inflammatoire (polyarthrite rhumatoide) entraine une réaction locale, engendrant une douleur par irritation des terminaisons nerveuses sensitives de la région concernée... le message remonte tout le long de la colonne jusqu'au cerveau qui dit "ça fait mal là"...
La névralgie est une douleur diffuse qui concerne les régions innervées par toutes les fibres d'un nerf (qui proviennent de plusieurs troncs nerveux). Exemple, la sciatique est une névralgie: le nerf sciatique, d'origine nerveuse L5-S1 (tronc nerveux) est comprimé, selon le degré de l'atteinte, on va ressentir une douleur sur tout le trajet du nerf (fesse-région postérieure de la cuisse-jusqu'au pied).
Dans le cas de la névralgie, plusieurs causes de compressions existent: tumeur/ arthrose..........

Exemple concret: l'arthrose lombaire (arthrose des articulations interapophysaires postérieures) va donner un rhumatisme mécanique, çàd douleur lombaire ressentie lors de certains mouvements de la colonne, contracture musculaire paravertébrale. Mais l'arthrose va parfois provoquer un compression du nerf sciatique donnant des douleurs tout le long du membre inférieur concerné.

Conclusion:
Rhumatisme= douleur articulaire
Névralgie= atteinte des fibres nerveuses constituant un nerf.
Radiculalgie= atteinte des fibres nerveuses d'un même tronc nerveux.

Plusieurs troncs nerveux sortent de la moelle épinière à différents niveaux.....passent par les trous de conjugaison des articulations vertébrales.......... se rassemblent dans un nerf qui chemine le long de la colonne ....... qui lui donne des branches motrices musculaires et des branches sensitives à destinée cutanée (toucher, douleur...) et à destiné musculaire et articulaire (sensation de position de son corps dans l'espace, douleur...)  (+ info)

Névralgie d'Arnold?


Mon médecin m'a diagnostiqué des névralgies d'arnold et préscrit des antalgiques et des scéances de kiné qui n'ont aucun effet. Il y en a t'il parmis vous qui souffrez de cela, quels sont les traitements préscrits, ont-il été efficaces et sinon, comment vivez vous avec?
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Bonjour, voilà quelque année que j'ai ca, lors de crise je suis sous anti inflammatoire et ca passe au bout de qulque jours voir quelque semaine, en cemoment j'ai une crise mias le pire c'est que cela me provoque des vertige. AS tu ce la aussi ? moi je me marie dans 2 semaine et j'espere qe disist la cela sera passer. je te souhaite bon courage; et repose toi surtout.  (+ info)

Qu'est ce que la névralgie d'Arnold???


Voilà, je me soigne depuis quatre ans pour des migraines, et je viens d'apprendre que je fais de la névralgie. Quel traitement dois je essayer?????
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vas voir sur le site ci-après :

www.arnoldalgie.com

je pense que tu arriveras à trouver ta réponse.
Je te souhaite d'être soulagée au plus tôt.  (+ info)

comment soulager la douleur dans le bras quand on a une nevralgie cervicale.?


ma nevralgie se trouve dans mon cou et coince un nerf qui descend jusqu'a la main tout en passant dans le bras. j'ai essayé une minerve mais cela ne me calme pas. j'ai fait des infiltrations mais ca n'a pas calmé la douleur non plus. je vois un rhumatologue mais dois-je voir un autre specialiste autre que rhumatologue.
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la rhumatologie ca marche pas?  (+ info)

névralgie cervico brachiale?


j ai des nevralgies cervico brachiale , ce sont les vertébres qui coincent le nerf est cela fait terriblement mal .cela fait 4 semaines que je souffre24h sur 24. de plus j ai le bras droit qui ne fonctionne pas correctement je ne pas peux . porter ma fourchette à ma bouche ou porter 1 casserole . les anti inflammatoire et la cortisone ne me font rien . si quelqu un a déja souffert de cela pouvez me dire ce que le médecin vous a donner ou un truc pour moins souffrir. merci a tous
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il y a plus de 10 ans j'ai fait une crise extrêmement douloureuse de nevralgie cervico brachiale (j'ai de gros problèmes aux vertèbres cervicales)
j'étais dans le même état que toi, impossibilité de me servir de mon bras gauche, je souffrais un véritable martyre et de plus le médecin a mis plusieurs jours avant de trouver ce que j'avais. je souffrais tellement que je perdais la tête ou presque.
j'ai par la suite vu un rhumatologue qui m'a de suite fait une infiltration de cortisone directement dans la nuque. le soulagement a été IMMEDIAT et durable puisque chaque fois qu'une nouvelle crise se présentait par la suite elle a été stoppée net par des anti-inflammatoires en comprimés.
si tu n'as pas déjà vu un rhumatologue (remboursé par la sécu) je te conseille de le faire, aussi de demander une infiltration de cortisone ; certes il ne faut pas en abuser mais je n'ai eu recours qu'une seule fois et franchement j'ai été soulagée  (+ info)

Névralgie cervico brachiale?


Bonjour à toutes et à tous.
voilà en octobre 07 j'ai eu un gros torticolis qui m'a provoqué une NCB. j'ai passé une IRM , rien sur les cervicales. J'ai des séances de kiné qui me soulage mais l'irradiation sur les épaules, sur le coté gauche de la poitrine et dans le trapèze,font du yoyo en permanence. alors si qq a une idée de savoir si quelque chose d'autre se cache, je vous remercie pour vos réponses. Mamourette
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courage pour les douleurs a tu essayer des séances de relaxation associer a la kiné il,faudra aménager ton boulots et alleger vos taches quotidienne le temps que ça rentre dans l'ordre en générale ca persiste qq mois c vraie  (+ info)

névralgie ... cervicales...?


Hi !
J'ai une névralgie et tout le côté droit de la nuque et de la tête est affreusement douloureux , c'est pire qu'une migraine. C'est dire...
Bref, est-ce quelqu'un en a déjà eu ? ça passe ou ça peut devenir chronique ?! ça fait 4 jours que je prends des anti tout (anti douleurs, anti inflammatoires décontractants musculaires...) et j'en peux plus de me droguer ainsi mais je ne peux pas faire autrement...
On m'a prescrit des séances de kiné. Et recommandé de me muscler le dos en faisant de la piscine. Ce que je ferai.
Si vous avez eu ça, merci de m'en parler je me sentirai moins seule et rassurée.
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Oui ! je connais , j ai des nevralgies d Arnold...C est tres douloureux ,en plus la douleur empéche de se concentrer et de dormir.
Je viens de passer une IRM qui confirme.
Donc je dois reprendre rendez-vous..parait -il qu il font des infiltrations qui marchent assez bien.Pour moi qui est 53 ans les vertebres sont tres tres abimées.
Malheureusement les antiinflammatoires ne sont plus efficaces.
Bon courage...Car c est tres douloureux.  (+ info)

névralgie anale?


l' un d'entre vous a t il déjà souffert de névralgie anale ?
quels en sont les symptomes et les traitements ?
merci de votre réponse
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LES SYMPTOMES
Tout d'abord, il faut bien comprendre que cette maladie est évolutive et donc les symptômes décrits ci-dessous peuvent changer voir s'intensifier au fil du temps. Un facteur également important est la spécificité de l'individu (chaque personne est unique) ce qui peut engendrer quelques modifications au niveau du tableau clinique...
En revanche, il y a des troubles caractéristiques et communs chez toutes les personnes atteintes par cette pathologie.
En voici le détail :
Le type de douleur qui prédomine dans cette affection est la sensation de brûlure. Elle est uni ou bilatérale et se manifeste principalement dans la zone rectale, périnéale, urétrale et/ou organes génitaux (clitoris, vagin, verge, testicule...), elle peut également lors de forte crise se propager en avant dans les cuisses. C'est véritablement une sensation de cuisson très puissante qui est décrite par les malades. D'autres symptômes sont également très présents comme la sensation de corps étranger au niveau du rectum (balle de tennis), des décharges électriques (coups d'aiguilles) de forte intensité*, des pincements très profonds dans le rectum ainsi que des torsions voir tiraillements dans toute la sphère périnéale. Les douleurs sont permanentes, quotidiennes et aggravées en position assise*. Elle démarre en général le matin dès les premiers actes de la vie quotidienne (prise du petit déjeuner), évoluant toute la journée par poussée pour atteindre des sommets en soirée. La douleur s'apaise en général en position debout ou allongé. Les douleurs sont souvent intolérables pouvant atteindre 10 sur l'échelle de EVA.
Voilà pour ce qui est de la forme « classique » mais comme nous vous le disions en introduction il n'est pas rare de constater la présence de problèmes associés survenant dés le début de l'affection voire après.
En tête de liste, les troubles urinaires et fécaux : Ils sont très fréquents et peuvent souvent aggraver les symptômes évoqués ci-dessus. Ils se traduisent par des brûlures à la miction, une augmentation de la fréquence urinaire ainsi que des troubles « sphinctériens » comme la dysurie (hésitation mictionnelle), difficulté à expulser les derniers jets d'urine et petite fuite post-mictionnelle. L'urgence urinaire est également présente alors que la vessie est quasiment vide. Des douleurs liées à la défécation se produisent et s'accompagnent de diarrhées ou/et de constipations. Les sensations habituelles de gêne dans le rectum n'arrangent pas les choses et conduisent le malade à multiplier ses passages à la selle, provoquant donc l'aggravation des symptômes initiaux. Ces anomalies entraînent des troubles intestinaux importants occasionnant des douleurs dans le bas ventre et qualifiés par le milieu médical de véritable syndrome du colon irritable.
Des troubles sexuels sont aussi très souvent observés et peuvent revêtir différentes formes. Pour les hommes, l'éjaculation est source de douleur et d'aggravation. Les érections sont moins fermes voire absentes. Le contrôle de l'éjaculation est difficile et l'expulsion du sperme se fait mal. Pour les femmes les problèmes sont du même ordre. Douleurs durant les rapports, absence de plaisir, clitoris et vulve hyper sensibles, gène à la pénétration...
En clair, la libido est très affectée par tous ces symptômes et il n'est pas rare que les malades abandonnent leur sexualité (source de douleur).
LES SYMPTOMES
(SUITE)
D'autres symptômes physiques peuvent aussi survenir :
--Une sensation de paresthésies et d'engourdissement dans les organes génitaux (perception différente, insensibilité, fourmillement, rétrécissement de la verge au repos, douleur sourde aux testicules...).
--Manifestation de troubles urinaires et fécaux (fuite urinaire post-mictionnelle, petite perte fécale).
--Des douleurs sourdes et invalidantes peuvent apparaître dans les jointures sacro-iliaques (creux des reins), les fessiers (muscles pyramidaux) avec projection de la douleur le long du trajet sciatique ainsi qu'au niveau de l'aine.
--Des contractures musculaires (fessiers, cuisses, mollets), des tressautements des nerfs pudendaux et sciatiques, la froideur des fessiers voire des organes génitaux, les douleurs osseuses (bassin, coccyx, ischion, membres inférieurs) sont aussi très concrètes chez certains malades.
--Tranpiration importante au niveau du bassin (périnée, fesses, organes génitaux) ainsi qu'un surplus de transpiration générale (poitrine, aisselles, visage, jambes...).
--Sensation anormale de bouffée de chaleur, accélération du rhytme cardiaque, vertige, nausée...
--Perte de mémoire, trouble de la concentration, épuisement mental évoluant en parralléle à la douleur.
Et puis et surtout le retentissement psychologique qui est sans précédent. Tous les malades affectés par la névralgie pudendale sont hantés par des idées suicidaires. La dépression est omniprésente. Le maintien dans une vie professionnelle et active relève presque de l'impossible. Les douleurs sont tellement fortes qu'elles deviennent obsessionnelles. Se rajoute à cela un véritable parcours du combattant avant d'être diagnostiqué avec tous les obstacles que cela comporte (erreurs médicales multiples, multiplicité d'examens, incompréhension et rejet). Mais les difficultés ne sont pas que médicales, l'entourage aussi a du mal à comprendre, les désordres familiaux sont fréquents. Les dommages collatéraux de cette maladie sont très importants.
*Nous voulons préciser que ces décharges électriques (symbolisant la douleur nerveuse) peuvent survenir beaucoup plus tard et donc retarder ou perturber le diagnostic laissant croire au patient la possibilité d'une autre affection.
Tout comme l'accroissement des douleurs en position assise (caractéristique de la névralgie pudendale) peut être difficile à apprécier dans les débuts pour certains patients.
ES TRAITEMENTS
Actuellement, l'arsenal thérapeutique officiel et disponible pour lutter contre cette maladie se compose de : traitements médicamenteux, infiltrations et chirurgie. Ils vont en général par ordre croissant mais tout ceci dépendra de beaucoup de facteurs (âge, ancienneté des symptômes, résultat thérapeutique, degré de compression, consentement du malade...). Ici encore il n'y a pas de règle absolue. Comme au sujet des symptômes, la spécificité de l'individu est au centre. Ce qui marchera pour une personne ne fonctionnera pas forcément pour une autre. D'où l'importance des équipes pluridisciplinaires, ce sont elles qui élaboreront le traitement le plus adapté et le plus efficace. La solution sera proportionnée au retentissement de la maladie sur le quotidien du malade.
Les médicaments
Il faut savoir que cette névralgie pudendale est tenace et résiste aux traitements habituels : par exemple les anti-douleurs classiques ainsi que la morphine sont souvent inefficaces. Seuls les anti-épileptiques (Rivotril), anti-comitiaux (Neurontin, Lyrica) et les anti-dépresseurs (Laroxyl, Déroxat) ainsi que Myolastan, Tramadol, Topalgic, Tofranil.., possèdent des propriétés qui agiront sur la perception de la douleur. Ce n'est donc qu'une solution alternative; en aucun cas cela ne pourra agir sur la cause.
Sous contrôle médical les molécules de ces différents médicaments pourront être associées pour ainsi obtenir un résultat optimal. Un dosage précis et individuel permettra à certains malades de retrouver un confort de vie acceptable.
Les infiltrations
Elles sont réalisées sous scanner ou sous contrôle "visuel". Elles sont faîtes de façon unie ou bi-latérale dans la ou les zones de conflits (pince ligamentaire et canal d'alcock). Les produits administrés sont des corticoïdes à effet retardataire.
Cet acte peut être reproduit 3 à 4 fois maximum avec un intervalle d'environ un mois. Les effets, s'ils ont lieu, se manifesteront entre la 2ème et 4ème semaines. Le taux de réussite est de 70%, ce chiffre comprend les améliorations même transitoires et/ou durables. En réalité, la disparition totale et définitive des symptômes n'intervient que dans 15 à 20% des cas. Cet acte médical se déroule de la façon suivante :
-Sous scanner : (ex : Pince ligamentaire) Le patient est allongé sur le ventre et sera placé sous l'appareil radiologique pendant toute la durée de la séance. Le praticien lui fera une injection de lidocaïne (produit anesthésiant) au niveau de la région glutéale. Ensuite une fois anesthésié, on lui introduira une aiguille toujours par voie trans-glutéale qui sera placée en dedans de l'épine sciatique. Là, seront injectés un anesthésique local et un anti-inflammatoire de type corticoïde.
Cette infiltration ne comporte pas véritablement de risque, surtout si elle est effectuée par un médecin expérimenté. Le seul désagrément peut être une allergie au produit (rare) ou une petite paralysie temporaire du sphincter urinaire et/ou des membres inférieurs. Une augmentation des symptômes pendant quelques jours voire semaines (2 maximum) peut être observée mais sans gravité. Il est cependant recommandé de ne pas conduire dans les heures qui suivent cette intervention.
-Sous contrôle « du toucher » : les produits injectés sont les mêmes mais la technique est encore plus simple. Le patient est allongé sur le dos et par touché anal ou vaginal, le médecin va localiser la zone qu'il souhaite infiltrer. En parallèle, il introduira une aiguille sous le périnée (Transpérinéale), du coté douloureux et injectera les produits cités ci-dessus. Les recommandations seront les mêmes.
L'opération
Elle est relativement simple techniquement et a pour vocation de lever la ou les compressions sur le trajet du nerf. Deux techniques existent à ce jour : la méthode Trans-glutéale et la méthode Trans-ischio-rectale (voir:La chirurgie). Les taux de réussite sont relativement bons quant ils dépendent de la rapidité du diagnostic. Les résultats se font ressentir et deviennent significatif dans un délai de 12 à 24 mois (selon les cas). La durée de l'intervention est a peu près de 3/4 d'heure pour chaque coté, sous anesthésie générale. Les délais d'hospitalisation sont d'environ 5 jours. Il n'y a pas de rééducation particulière à l'issue de celle-ci, il est néanmoins indispensable d'avoir un suivi multidisciplinaire post-opératoire dans les mois et les années qui suivent. Il faut malgré tout rappeler que cette intervention est proportionnée à la maladie et que par conséquent, ne vous attendez à des résultats au lendemain de celle-ci. Les douleurs post-opératoires sont assez douloureuses et les symptômes névralgiques peuvent parfois s'accroîtrent durant les premiers mois.
Cependant même si une partie des malades ont par cette intervention, obtenu des améliorations significatifs et durables de leurs douleurs, toutefois pour certains cela reste un échec.
Rappelons que cette intervention n'aggrave pas théoriquement l'état du malade.
Les malades se trouvant en situation d'échec, peuvent avoir recourt à des soins palliatifs dans les unités de douleur ayant des protocoles spéciaux mis en place à cet effet.
Les traitements parallèles
Ils ont également leur place dans ce chapitre, elles sont complémentaires aux traitements classiques et apportent un bienfait non négligeable aux malades.
Ils ne pourront malheureusement pas traiter la cause mais ils permettront tout au moins dans limiter les problèmes associés.
Parmi les plus connues, citons :
L'acupuncture : cette médecine est tout particulièrement intéressante pour lutter contre le syndrome pyramidal (douleur fessière profonde) ainsi que sur le stress généré par cette maladie chronique.
L'ostéopathie* de mobilisation (méthode viscérale et craniène) : traitement de choix et probablement le plus efficace. Elle lèvera toutes les contractures musculaires et les blocages dorsaux provoqués par cette maladie.
La kinésithérapie : elle visera aussi à détendre le malade par différentes techniques (ultrasons, électro-stimulation, massage...).
L'homéopathie : elle est très intéressante pour lutter contre les effets secondaires liés au médicament classique (anti-comitiaux, anti-épileptique...)
La phytothérapie : ces traitements sont sans effet secondaire et peuvent être utilisés pour aider le malade à faire face psychologiquement à la maladie.
*Eviter l'ostéopathie de manipulation (craquements)

http://www.pudendalsite.com/les-traitements-suite.php  (+ info)

douleur d'un nerf (névralgie cervico-brachial)?


en attendent les résultats (radio etc) puis-je avoir un bon calmant
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Il dépend de chaque cas mais comprend souvent une immobilisation temporaire (repos au lit, port d'un corset ou d'un collier cervical), la prise d'analgésiques, d'anti-inflammatoires (par voie injectable ou orale, ou en infiltrations), ou encore des séances de kinésithérapie.  (+ info)

J'ai un kyste arachnoïdien frontal, 3 cm/1,5 cm, appelé aussi méningiome. Merci de vos réponses.?


Bonjour,
Pour être brève, voilà : il y a une dizaine d'années, je souffrais de vertiges importants, nausées, pertes de mémoire, fatigue, névralgies faciales, sinusites, après plein d'examens, scanner, irm, ponction lombaire, rien, sauf un kyste arachnoidien frontal, mais personne capable de me dire si mes symptômes venaient de là. Puis, c'est parti un beau jour, 3 mois après, comme c'était venu. Forcément, tout revenant bien, la vie reprend, on n'y pense plus. Sauf que .. depuis 4 mois environ, c'est reparti. Vertiges différents, mais vertiges, nausées, pertes de mémoire, fatigue, sinusite, canal lacrymal bouché, parfois névralgies. Re visite, re IRM, qui redétecte mon kyste arachnoidien, qui a en 10 ans plus que doublé, un peu plus de 3 cm sur 1,5 cm. Je dois revoir un neurologue. J'ai lu dans plusieurs forums concernant ce problème que le risque était s'il était compressif ou pas, et que cela s'opérait. J'aimerai pouvoir parler avec des personnes qui ont ou ont eu le même problème.
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il faut se faire opérer vite ,étant superficiel c'est généralement très faisable.  (+ info)

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