FAQ - Néphropathie Endémique Des Balkans
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L'auto-fellation, panacée contre la famine endémique ?


@eternal: je suppose que c'est eux, mais le soliste (LEE BRILLEAUX) n'est malheureusement plus de ce monde
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Le sperme est très nourrissant, il parait, effectivement.

C'est bien "Dr Feelgood ?"
Je dis ça parce je ne connais pas bien, et ils passent en concert à côté de chez moi, avec Manfred Mann, et je me tâte.  (+ info)

Cause et traitement de néphropathie hypertensive ?


J'ai mal au tour de la taille(hanche), on m'a demandé l'examen microalbumunirie. Suite au résultat 110mg/l (néphropathie débutante), on m'a prescrit :CAPTOPRIL & ESIDREX pour le reste de mes jours. 54 ans et pas prêt à prendre chaque jour ces comprimés. Ne peut- on pas traiter autrement?
Mon problème est de savoir s'il n'est pas possible de traiter une néphropathie débutante au lieu de se gaver de pilulles jusqu'au dernier jour?
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On ne peut pas traiter autrement. La néphropathie hypertensive est en soi une cause d'hypertension : l'hypertension détruit le rein et la néphropathie aggrave l'hypertension, et c'est un des pires cercles vicieux qui soit en pathologie humaine. On dit souvent que le rein est "une victime et un complice de l'hypertension artérielle".

C'est une pente inéluctable d'une part vers l'hypertension sévère, d'autre part vers l'insuffisance rénale. C'est soi le traitement soit l'insuffisance rénale terminale en 10 ans.

Les deux médicaments que vous avez brisent le cercle vicieux : ils empêchent l'atteinte rénale d'augmenter la tension, et freinent sa progression en même temps (en baissant la pression artérielle que subissent les petites artères du rein).  (+ info)

à quoi est due l'insuffisance rénale chronique secondaire à une néphropathie diabétique.?


à la destruction progressive des glomérules rénaux. Le diabète induit une microangiopathie ( atteinte des petits vaisseeaux, artérioles et capillaires liés à l'hyperglycémie chronique qui entraine des modifications de la structure et de la perméabilité de ces petits vaisseaux ) qui touche surtout l'oeil et le rein.
Pour le diabète de type I, l'origine est diabétique pure, pour le diaabète de type II , l'origine est souvent multifactorielle ( diabète mais aussi athérome lié au terrain : assoçiation fréquente avec d'autres facteurs de risque cardio-vasculaires).
Il y a aussi des facteurs aggravants comme des infections urinaires à répétitions ( les diabétiques sont plus fragiles et vulnérables vis à vis des infections, infections qui peuvent aussi déséquilibrer elles mèmes le diabète.....).
Il y a 5 stades de gravité ( 5 étant l'insuffisance rénale terminale, les stades 1 et 2 encore réversibles d'ou l'importance du dépistage systématique chez tout diabétique).

L'essentiel repose sur la prévention: équilibration draconienne du diabète avec une bonne coopération du patient ( bien noter ses glycémies, bien se faire suivre etc...) , équilibrer une hypertension ( facteur aggravant ) , donner un traitement néphroprotecteur ( de la classe IEC le plus souvent) , éviter ou traiter tout facteur aggravant ( arrét des médicaments néphrotoxiques, prévenir et traiter les infections urinaires.  (+ info)

quel est le traitement d'une néphropathie interstitielle?


le protocole adapté pour traiter une néphropathie interstitielle
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@mamieB: ce sont les médicaments à l'origine possible de la néphropathie interstitielle que tu as cités! Pas le traitement! Faut apprendre à lire les articles médicaux plutôt que d'écrire des bêtises...

la néphropathie interstitielle étant d'origine multiple, il faut d'abord en traiter la cause (maladie générale: infection, cancer, etc ), ou arrêter l'apport des produits à toxicité rénale (médicaments, métaux lourds, etc)

puis, selon les cas: antibiotiques, corticoïdes, inhibiteurs de l'enzyme de conversion,dialyse rénale, transplantation rénale même selon l'importance des dégâts.

Il n'y a pas de protocole type, la prise en charge varie en fonction de l'étiologie, et du stade évolutif au moment du diagnostic  (+ info)

Pourquoi la peste a disparu ?


Est-ce la meilleure hygiène ? Moins de puces ? Mais on peut arguer que les populations de rats sont très nombreuses, et que la densité humaine est bien plus forte qu'au Moyen-âge... Des puces, il y en a quand même dans les grandes villes... Et la peste se transmet ensuite directement par contact humain ? Je crois aussi savoir qu'il existe des foyers où la peste est encore endémique (en Inde, non ?)
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La peste est une maladie qui sévit toujours de nos jours en Afrique, Asie et Amérique et fait partie des maladies actuellement ré-émergentes dans le monde. Elle est soumise à une règlementation internationale. Le nombre de cas déclarés par l'OMS est en progression dans certaines régions. Au cours du XXème siècle, l'utilisation de traitements antibiotiques et le renforcement des mesures de santé publique ont réduit très fortement la morbidité et la mortalité dues à cette maladie, mais n'ont pas permis de la faire disparaître.
La peste est une maladie des rongeurs, principalement véhiculée par le rat, et transmise à l'homme par piqûres de puces de rongeurs infectés. C'est le pasteurien Alexandre Yersin qui découvrit en 1894 le bacille responsable de la maladie, Yersinia pestis, bactérie d'une extrême virulence.  (+ info)

Quels sont le rôle et la place de la lutte contre les vecteurs dans le contrôle des maladies?


Il s'agit ici des maladies endémiques parasitaires transmises par des insectes.
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ça parait logique : prends l'exemple du shik : il est transmis par les moustiques ( le vecteur ) donc si tu controles le vecteur, tu controle la pandémie et donc tu peux controler une pathologie sans forcément agir sur elle directement  (+ info)

oui sa existe la leischmaniose cutané en afrique .dans des regions s'a devenue endemique?


ben oui ..... ça existe .... leishmaniose



La leishmaniose peut être contractée dans de nombreux pays tropicaux et subtropicaux, et on la retrouve dans des régions relevant de 88 pays environ. Approximativement 350 millions de personnes vivent dans les zones d’endémie. Les conditions climatiques compatibles avec le développement de la leishmaniose sont très larges, allant des forêts tropicales d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud aux déserts d’Asie occidentale. Plus de 90 pour cent des cas mondiaux de leishmaniose viscérale se rencontrent en Inde, au Bangladesh, au Népal, au Soudan et au Brésil.

La leishmaniose est également retrouvée au Mexique, en Amérique Centrale, et en Amérique du Sud, du nord de l'Argentine au sud du Texas (sauf en Uruguay ou au Chili), l'Europe méridionale (la leishmaniose n'est pas répandue chez les voyageurs à destination de l’Europe méridionale), l'Asie (sauf le Sud-est asiatique), le Moyen-Orient, et l'Afrique (particulièrement l’Afrique du Nord et de l’Est, avec quelques cas ailleurs). La maladie n'existe pas en Australie ou en Océanie.

La leishmaniose est présente en Irak et a été contractée par un certain nombre de soldats des troupes impliquées dans l’invasion de ce pays en 2003 et dans son occupation. Les soldats ont surnommé la maladie le furoncle de Bagdad . On a rapporté à l’Agence France-Presse que plus de 650 soldats des États-Unis auraient contracté la maladie entre le début de l'invasion en mars 2003 et fin 2004 [2],[3].

En 2004, on a calculé qu'environ 3400 hommes de troupe de l'armée colombienne, opérant dans la jungle du sud du pays (en particulier autour des départements de Meta et de Guaviare), ont été atteints par la leishmaniose. Apparemment, une des raisons qui a contribué à cette épidémie était le fait que plusieurs des soldats atteints n'avaient pas utilisé le produit répulsif, mis à leur disposition en raison d’une odeur prétendument désagréable. On estime que près de 13 000 cas de la maladie ont été enregistrés dans l’ensemble de la Colombie tout au long de l’année 2004, et environ 360 nouveaux cas parmi des soldats avaient été recensés en février 2005 [4],[5],[6].

En septembre 2005 la maladie a été contracté par au moins quatre marines hollandais qui ont stationné à Mazari Sharif, en Afghanistan et ont été rapatriés pour traitement.




http://fr.wikipedia.org/wiki/Leishmaniose  (+ info)

Ne pourriez vous pas faire comme au Quebec ?


Le Québec se tourne vers l'Afrique pour adopter
Puisque le nombre d’enfants étrangers disponibles pour adoption subit une baisse marquée, le Québec se tourne vers l’Afrique afin de satisfaire son besoin pour l’adoption internationale. Les « orphelins du sida », très nombreux en Afrique subsaharienne, pourraient être davantage sélectionnés à l’avenir.

Dans un article de François Berger dans La Presse du 4 septembre 2007, on apprend que le Secrétariat à l’adoption internationale, qui supervise ce domaine au Québec, entend faire appel davantage à des pays africains, dont le Mali, le Niger, le Togo, l’Éthiopie et la Tanzanie. De nombreux enfants africains ont perdu leurs parents à cause du sida, une maladie endémique dans cette partie du monde. Les pays asiatiques, la Chine en tête, étaient jusqu’à maintenant la source principale des adoptions internationales, mais on y propose de moins en moins d’enfants aux parents des pays développés. Le phénomène est similaire dans les pays d’Europe de l’Est.

Au Québec, le nombre d’enfants adoptés à l’étranger a chuté de 21 % l’an dernier et de 18 % dans l’ensemble du Canada, une diminution pour la troisième année consécutive, selon le ministère canadien de l’Immigration. Le Québec avait l’habitude d’être la première destination de l’adoption internationale au pays, mais il a maintenant glissé derrière l’Ontario. Le nombre de visas émis pour adoption a totalisé 1535 au Canada en 2006, et 487 au Québec. Pour sa part, le Secrétariat à l’adoption internationale fait état de 532 adoptions en 2006-2007 (au 31 mars), une baisse de 39 % depuis 2003-2004. Il faut remonter à 1990 pour retrouver un niveau aussi bas. Au cours des cinq derniers mois, seulement 229 enfants étrangers ont été inscrits par l’agence gouvernementale.

Par contre, le nombre de nouvelles demandes d’adoption par des Québécois ne cesse d’augmenter et a atteint le chiffre record de 1311 en 2006-2007, une hausse de 61 % sur 2003-2004. Désormais, seulement deux demandes sur cinq peuvent être comblées. De plus, les délais s’étirent et atteignent maintenant en moyenne 18 mois au lieu de douze pour les parents adoptifs québécois. Pour une adoption en Chine, d’où viennent 45 % des enfants étrangers adoptés au pays, les délais sont passés de six à 10 mois, selon le Conseil d’adoption du Canada, organisme basé à Ottawa.



Au Canada, 83 % des enfants adoptés l’année dernière (des filles deux fois sur trois) avaient moins de 5 ans.

L’an dernier, les Québécois ont adopté 336 enfants d’origine québécoise, selon l’Association des centres jeunesse. Cela représente le tiers de toutes les adoptions faites au Québec. Par comparaison, les adoptions locales ou nationales représentent aussi le tiers de toutes les adoptions en Allemagne, mais seulement 17 % en France. Dans l’ensemble du Canada, 1700 enfants canadiens sont adoptés chaque année, comptant pour près de la moitié des adoptions
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Ah ces canadiens quel peuple généreux  (+ info)

idee recette?


pour feter nos 3 ans d'amour, je vais preparer une petit festin a mon homme. en entree, du saumon fume. en plat....je sais pas! j'habite dans les balkans, on trouve pas de bonnes viandes ni de bonnes charcuteries. que pouvez vous me conseiller avec des produits simples? merci d'avance!!!!
@carolane, merci, mais je trouverai jamais ces ingredients ici!!!!endive, jambon, elby, oublie!!!!
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- des lasagnes
- calmar à l'américaine (tu trouves facilement la recette sur internet)
- spaghetti à la carbonara
- escalope milanaise  (+ info)

Qu'allez vous achetez à vos enfants pendant que tout ça se passe ?


Le Sud ravagé par le sida

En Afrique, une affaire de mort et de pauvretéLa 13e conférence internationale sur le sida a clôturé ses travaux le 14 juillet dernier à Durban, en Afrique du Sud. Malgré le climat de suspicion déclenché par le président sud-africain Thabo Mbeki, en raison de ses positions controversées sur la maladie, cette réunion s’est terminée sur une note d’espoir. Le monde semble avoir pris conscience de la dimension planétaire de l’enjeu.

Des sommes ont été dégagées : les Etats-Unis annoncent 1 milliard de dollars de prêts aux pays d’Afrique situés au sud du Sahara, pour qu’ils se procurent moins difficilement les très coûteux médicaments ; la Banque mondiale devrait financer à hauteur de 500 millions de dollars les pays mettant en œuvre un programme national de lutte. Des chiffres qui, s’ils sont encourageants, ne peuvent en aucun cas justifier un quelconque triomphalisme : le 10 janvier, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, le directeur exécutif d’Onusida, M. Peter Piot, affirmait qu’il faudrait mobiliser « entre 1 et 3 milliards de dollars par an » pour lutter efficacement contre la propagation de la maladie en Afrique (1). Devant cette même instance, M. Mark Malloch-Brown, administrateur du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), rappelait que les Etats-Unis dépensaient 10 milliards de dollars chaque année pour la lutte contre le sida dans leur pays - 40 000 nouveaux cas par an -, alors que 165 millions de dollars seulement étaient dépensés en Afrique, où 4 millions de personnes sont atteintes dans le même laps de temps (2).

De son côté, le G8 (Groupe des sept pays les plus industrialisés ainsi que la Russie) s’est engagé à travailler dans le cadre d’un partenariat renforcé avec les gouvernements, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les autres instances internationales, les industries (notamment les compagnies pharmaceutiques), les institutions académiques, les associations, pour réduire de « 25 %, à l’horizon 2010, le nombre de jeunes gens infectés par le virus du sida ».

Pourtant, l’unanimité n’est pas faite quant à la manière la plus efficace de combattre le fléau. Affaire de gros sous, ambitions morales et rivalités scientifiques constituent autant de points de désaccord. Au cœur de ces contradictions, la grave crise déclenchée par le président sud-africain Thabo Mbeki au mois de mars 2000. Dans une lettre adressée au président américain William Clinton, il soulignait le rapport spécifique étroit qu’il croyait percevoir entre, d’une part, la mort massive provoquée par la maladie dans certaines régions du monde comme l’Afrique et, d’autre part, la pauvreté de masse endémique étouffant ces régions.

En conclusion, le président sud-africain osait une proposition : toute stratégie visant l’éradication du sida ne peut espérer être efficace que si elle prend en compte, de manière objective et réaliste, le facteur pauvreté. M. Thabo Mbeki écrivait notamment : « Il est clair que, quelles que soient les leçons que nous devons tirer des connaissances occidentales sur la grave question du sida et du VIH, la simple superposition de l’expérience occidentale sur la réalité africaine serait absurde et irrationnelle. (...)Je suis convaincu que notre devoir le plus urgent est de répondre de façon spécifique aux dangers spécifiques qui nous menacent, nous les Africains. Nous ne reculerons pas devant cette obligation pour choisir la solution la plus confortable de "réciter un catéchisme" qui, bien sûr, est peut-être une réponse correcte au sida tel qu’il se présente en Occident, mais pas forcément en Afrique. »Il soulignait alors que les chiffres connus sur la tragédie ne sont que des estimations plus ou moins sophistiquées, camouflant mal une réalité qui apparaîtrait certainement encore plus tragique si les Etats africains bénéficiaient d’une capacité fiable de tenue des livres statistiques (3).

Ce sont moins ces propos que l’écho donné par M. Mbeki aux théories dissidentes selon lesquelles le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ne serait pas la cause du sida qui suscitèrent une levée de boucliers de la part de nombreux scientifiques et d’organisations non gouvernementales. Signée par plus de 5 000 personnes, dont plusieurs Prix Nobel et autres chercheurs émérites travaillant sur la pandémie, la « Déclaration de Durban (4) » prit vigoureusement position contre les propos de M. Mbeki, malgré le soutien que lui apporta M. Nelson Mandela.

Pourtant, au-delà des conclusions scientifiques actuelles sur l’origine du mal, conclusions que nul ne saurait mettre en cause en l’état actuel de la recherche, il existe bien un rapport étroit entre pauvreté et mort de masse causée par le sida (5). L’Organisation mondiale de la santé (OMS) souligne ainsi : « La pauvreté exerce son influence sur tous les stades de la vie humaine, de la conception à la tombe. Elle conspire avec les maladies les plus meurtrières et les plus douloureuses pour rendre misérable
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Et toi tu fais quoi ?  (+ info)

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