FAQ - Hypertrophie Gingivale
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comment soigne t'on l'hypertrophie du cavum?


Mon fils de 27 mois a très svt du mal à respirer.l'ORL nous fait faire une radio conclusion HYPERTROPHIE DU CAVUM je ne sais pas ce que ça veux dire? qui a dejà eu le meme cas? svp dites moi MERCI
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le cavum est la partie du pharynx située derrière les fosses nasales (les végétations).
Une hypertrophie du cavum peut être la cause d'otites, d'infection des sinus, des amygdales et provoquer une obstruction nasale, problème très fréquent chez le jeune enfant.
Si l'obstruction devait s'aggraver, le chirurgien pourrait avoir recours à un curetage des végétations, et une amygdalectomie.
Cette opération est courante et se fait lorsque l'enfant a entre 2 et 4 ans, sous anesthésie générale, pour une hospitalisation de 48 heures.  (+ info)

Quelles mesures faut-il prendre l'orsqu'on a une hypertrophie ventriculaire droite ?


on peut faire du sport sans problème et on ne se sent pas fatigué. Y a t-il un risque si on force ?
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c'est exclusivement au médecin et notamment au médecin sportif de vous répondre  (+ info)

HELP : j'ai passé un electrocardiogramme et j'ai "une legere hypertrophie de l'oreillette gauche" ? C quoi ?


Voila j'ai passé un holter 24H plus un ECG classique suite a des problemes de palpitations. Resultats : le cardiologue me dit que je n'ai rien, voila meme ce qu'il a ecrit :

Rythme sinusal permanent

Abesence de pause, bradycardie ou tachycardie anormale.

Tachycardie sinusale a 180 en rapport a une montée d'escalier.

Jusque la tout vas bien pour le holter...

MAIS POUR L'ECG CLASSIQUE, VOILA CE QU'IL A MIS :

Rythme sinusal a 74/mn, hypertrophie de l'oreillette gauche limite.

Absence de trouble du rythme, de la conduction ou de la repolarisation.

IMPORTANT VOILA MES QUESTION :

1 : qu'est-ce que ca veut dire une "hypertrophie de l'oreillette gauche limite". Il m'a dit que c'etait l'oreillete gauche un peu trop dilaté, mais que c'etait minime. C'est bien ca ?

2 : Est-ce que c'est dangereux ?

3 : Ne serait-ce pas le cardio qui c'est trompé ? Car j'ai passé une echographie du coeur il y a quelques mois (plus une autre l'année derniere a l'hopital de Nice), et il n'y avait rien. Or apparement, ca se voit surtout a l'echo.

Voila merci a tous pour vos réponses ;-)
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alors oui l'hypertrophie de l'oreillette je vais essayer d'expliquer
le cœur si il travaille trop de façon excessive pour permettre un certain débit sanguin les fibres musculaires de ces cavités s'hypertrophient dans un sens c'est qu'elles deviennent plus épaisses
et la cavité cardiaque se dilate
et si il met limite c'est que à l'ECG il y a un système pour connaître ça c'est à partir d'un calcul et donc limite de la normale
je te suggère de refaire ton ECG car mon amie une fois on lui a dit que c'était une hypertrophie alors qu'il n'en était rien c'était pas faute d'interprétation mais le tracé de l'ECG était mal fait

pour ta deuxième question bin ce n'est pas grave en soi mais il faut savoir pourquoi cette hypertrophie car à la longue les oreillettes vont retentir en amont
et il faut savoir que l'activité électrique débute au niveau de l'oreillette donc risque de troubles du rythme
et une oreillette qui fonctionne mal peut aussi retentir sur le remplissage des ventricules et ceci si elles ne se vident pas complètement

pour la troisième comme j'ai dit des fois c'est le tracé de l'ECG qui est mal fait :)

voila
mais je te conseil de refaire ton ECG  (+ info)

Y a - t - il des médicaments pour l'hypertrophie prostatique psychosomatique chez les jeunes hommes ...?


je parle de médicaments pas d'hypnotherapie ou de médecine parallèle ( ou de drogues ) ...
MERCI D'AVANCE...
je simplifie : Un jeune de 30 ans qui va au petit coin chaque 2 ou 3 heures pour pisser ...et le médecin lui dit qu'il n'a rien...peut on le soigner avec des médicaments ...si oui lesquels ...
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Sauf erreur de ma part,s'il s'agit d'une hypertrophie prostatique,ce qui devrait etre confirmée par une echographie,ce qui me parait peu probable à 30 ans,car en général,c'est à partir de 50 ans que l'on peut constater ce genre de problème,toutefois,il est parfois possible qu'une origine psychosomatique ne doit pas etre écartée,le mieux pour en etre informé avec précision est de consulter un urologue,qui est le seul à meme d'y répondre.Quand à un médicament,pour stabiliser l'hypertrophie prostatique,le prosta-urgenin donne un résultat satisfaisant,ce qui est mon cas,mais encore une fois,un cas n'est pas l'autre.Cordialement  (+ info)

Hypertrophie prostatique á priori benigne?


Je voudrais savoir ce que c'est qu'une hypertrophie prostatique á priorie benigne sans residu post mistitionné significatif même retentissement sur les hauts appareils urinaires . Faut il absolument opérer pour en guerrir ? existe-t-il des traitements medicamenteux ? quels sont ils ? merci
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c'est un augmentation de volume de la prostate, tout a fait banale qui se voit presque tjs a partir de 50 ans. Il ne faut pas operer d'emblée.. L'important, c'est de ne pas passer a coté d'un cancer. pour cela: 02 examens:
1) le TR (toucher rectal) qui apprecie le volume et l'homogenieté de la prostate
2) surtout le PSA TOTAL (prostate specific antigen) qui doit etre inferieur à 4.
si le PSA total est entre 4 et 10, il faut faire le dosage de PSA LIBRE, qui doit etre eleve en cas de benignite et bas en cas de cancer. le rapport PSA LIBRE sur PSA TOTAL est diminué de facon significative en cas de cancer.
si le PSA TOTAL est superieur à 10: c'est un cancer et il faut operer d'emblée.
les traitements de l'hypertrophie benigne de la prostate (PSA TOTAL inferieur a 4) sont
les alpha bloquants comme cardular, xatral
ou bien les inhibiteurs de la 5 alpha reductase comme le Chibro Proscar.
Ce n'est qu'apres echec d'un traitement medical bien conduit ou bien devant l'ascention permanente des PSA TOTALES que se discute l'intervention chirurgicale qui n'est pas sans sequelles (impuissance, anejaculation, ejaculation retrograde, etc..)
J'espere vous avoir aidé et surtout vous avoir fait comprendre qu'il faut repousser l'intervention au maximum, sauf s'il n'ya plus d'autres alternatives.
bonne chance.  (+ info)

j'ais une hypertrophie de l'endomètre est ce normale?


Sans être médecin ( celui-ci a du mieux vous l'expliquer ...) on comprend quand même qu'une hypertrophie de l'endomètre signifie qu'il est distendu ou augmenté de volume ... ce n'est donc pas "normal" , pour répondre à votre question . Quant à savoir si c'est " grave ou non" encore une fois , le médecin est plus compétant pour répondre , de même pour la cause de cette hypertrophie . Si c'était " grave" il vous l'aurait dit , je suppose donc ne vous en faites pas .  (+ info)

Hypertrophie osseuse ankylosante + tassements vertebraux = ?


Je voudrai bien une reponse.
N'y a-il pas de réponses à mes questions ?
Je veux savoir à quoi égal L'Hypertrophie osseuse ankylosante PLUS Les tassements vertebraux
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La Spondylarthrite Ankylosante (SA) ou pelvispondylite rhumatismale est le deuxième rhumatisme inflammatoire chronique après la polyarthrite rhumatoïde. Elle touche plus de 300 000 personnes en France et environ 1,5 million en Europe. Cette maladie atteint de préférence une population jeune (entre 15 et 50 ans) et n'épargne pas l'enfant. Elle est plus communément rencontrée chez l'homme avec un sexe-ratio de 2,5 hommes pour une femme.
La SA est associée au gène présent chez 95 % des patients mais qui n'explique que 30 à 40 % de la prédisposition génétique : le gène HLA-B27.
La SA touche essentiellement les articulations du bassin et celles de tous les segments de la colonne vertébrale laquelle peut être déformée au bout de quelques années (cyphose). Les formes invalidantes et graves concernent 25 à 30 % des patients.


Etiologie

La cause de la SA reste inconnue mais il existe certains facteurs favorisants : ce sont les facteurs génétiques et les facteurs environnementaux.

Facteurs génétiques

- On connait des formes familiales de SA (10 % des cas) mais elles sont surtout fréquentes chez les SA féminines.
- La SA est liée à la présence, chez les patients, d'un antigène particulier du complexe d'histocompatibilité : HLA-B27. Environ 90 % des malades blancs européens sont porteurs de cet antigène alors que la fréquence du B27 dans la population est de 5 à 14 % selon les pays d'Europe.
- La SA touche essentiellement les hommes : 9 hommes pour une femme, mais il est probable que la fréquence des cas féminins soit sous-estimée du fait de leur atypie ou de leur caractère plus fruste.
- L'âge de début de la maladie se situe plus de une fois sur deux dans la troisième décennie.

Facteurs d'environnement

- La SA peut faire suite à une arthrite réactionnelle. En effet, certains rhumatismes inflammatoires surviennent après une infection bactérienne (Salmonella, Shigella, Yersinia, Campylobacter...) ou virale. Une partie des constituants du germe (protéines, ARN ribosomal ou ADN) sont encore présents dans l'organisme laissant penser qu'ils peuvent déclencher une réaction inflammatoire de la synoviale articulaire.
- Les manifestations articulaires peuvent aussi être associées à des signes cutanés, muqueux, génito-urinaires et intestinaux constituant alors le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter (FLR). De fréquence modérée mais probablement sous-estimée, le Fiessinger-Leroy-Reiter (FLR) est à connaître car si son évolution est la plupart du temps bénigne, il peut évoluer vers la spondylarthrite ankylosante.
- D'autres affections peuvent s'associer à la SA : maladie de Crohn, rectocolite ulcérohémorragique, maladie de Whipple.

Manifestations cliniques

La SA touche essentiellement les articulations du bassin et celles de tous les segments de la colonne vertébrale (dorsal, lombaire et cervical). La souffrance du patient est importante. Elle perturbe le sommeil et détériore la qualité de la vie.

La SA débute généralement par des douleurs au rachis lombaire et au bassin. Les douleurs rachidiennes sont fréquentes, accompagnées de raideur surtout matinale. Elles s'accompagnent également d'irradiations dans les fesses voire vers l'arrière des cuisses selon un trajet crural postérieur.

Les articulations des membres ne sont pas épargnées : mains, épaules, genoux, chevilles et pieds, hanche. Le pied est fréquemment atteint, en particulier le talon (talalgie), ce qui peut rendre la marche pénible, difficile, voire impossible dans des cas rares. Cette atteinte est due à l'inflammation des attaches des tendons à l'os (enthésiopathies).

Les autres signes sont :
- une uvéite antérieure aiguë (inflammation d'une partie de l'œil), volontiers récidivante, qui survient à des moments variables de l'évolution de la SA. Elle provoque une rougeur et une douleur de l'œil ; elle nécessite des soins spécialisés urgents pour éviter des séquelles compromettant la vue.
- une urétrite non gonococcique (cervicite chez la femme),
- une sacro-iliite à la radiographie,
- la présence de l'antigène HLA B27,
- l'amélioration des douleurs par les anti-inflammatoires non stéroïdiens.

La maladie évolue par poussées. Une forme d'ankylose peut s'installer. Dans les cas les plus sévères, la maladie peut provoquer une déformation de la colonne vertébrale en cyphose.
Lors d'une poussée, une asthénie physique s'installe pouvant dans des cas extrêmes provoquer une véritable dépression réactionnelle.

Les formes invalidantes et graves concernent 25 à 30 % des patients atteints de spondylarthrite ankylosante.

Diagnostic

Le diagnostic de la SA repose sur des critères cliniques, radiographiques et biologiques.

Signes cliniques

- Douleurs rachidiennes : initialement intermittentes, elles sont souvent plus durables, évoluant par périodes de plusieurs semaines ou mois.
- Arthrites périphériques : elles s'observent au cours de l'évolution chez 50 à 70 % des malades. Il s'agit surtout d'atteinte inflammatoire proximale, des épaules et coxofémorales, plus rarement d'une atteinte des genoux ou des pieds.
- Manifestations viscérales : elles sont d'inégale fréquence. L'oeil est l'organe le plus touché (uvéite antérieure). Mais d'autres manifestations viscérales sont propres à la SA : insuffisance ventilatoire restrictive, liée à la rigidité de la paroi thoracique, insuffisance aortique et troubles de la conduction auriculoventriculaire...

Signes radiographiques

On réalise un grand cliché radiographique permettant de voir l'incidence de la maladie sur la jonction dorsolombaire, le rachis lombaire, les articulations sacro-iliaques et coxofémorales.

Les signes radiologiques sont :

- Signes d'arthrite sacro-iliaque (sacro-iliite). Classiquement, ces signes sont bilatéraux et plus ou moins symétriques mais au début ils peuvent prédominer d'un côté.
- Signes rachidiens : on distingue les atteintes du corps vertébral et celles de l'arc postérieur.
- Signes articulaires ou tendinopériostés : les signes d'arthrite périphérique sont non spécifiques. Il faut insister cependant sur les images d'ossification ou d'ankylose articulaires, bien particulières à la SA et qui s'observent aux cours des coxites. Les ossifications sous-périostées peuvent s'observer au bassin, aux talons.


Signes biologiques

- La vitesse de sédimentation est habituellement élevée au cours des poussées mais elle peut rester normale tout au long de l'évolution (20 % des cas). Normale, elle ne peut faire exclure le diagnostic si le tableau radio-clinique est évocateur : on sait en effet que quelques spondylarthrites ankylosantes peuvent évoluer vers une grande invalidité alors que la vitesse de sédimentation reste normale pendant toute l'évolution.
- La présence de l'antigène HLA B27 est un fort argument de présomption s'il est associé au syndrome clinique et à des signes radiologiques débutants. A lui seul, il ne saurait faire porter le diagnostic de spondylarthrite ankylosante.

Diagnostic différentiel

La liste des affections pouvant être confondues avec la SPA est longue. Les principales sont : les arthrites d'origine infectieuse (tuberculose, brucellose, salmonellose...), une hyperparathyroïdie, une ochronose (alcaptonurie), une ostéochondrose, une hyperostose vertébrale ankylosante, une discarthrose, une polyarthrite rhumatoïde...

Traitement

Le traitement de la SA est purement symptomatique et vise à limiter l'inflammation articulaire et à prévenir les attitudes vicieuses.

Traitement médical


- Le repos complet est préconisé lors des poussées douloureuses
- Moyens médicamenteux :
* Anti-inflammatoires non stéroidiens (AINS). Ils ont une tolérance gastrique médiocre lorsqu'ils sont pris de façon prolongée
* Corticoïdes. Ils sont moins efficaces mais sont souvent utilisés en cas d'ulcère gastroduodénal provoqué par les traitements précédents. On les utilise lors de traitements locaux comme des infiltrations locales de corticoïdes au niveau du genou en cas d'arthrites ou lors de la pose d'une prothèse de hanche.
* Traitements de fond : ils sont surtout utiles en cas d'atteinte articulaire périphérique et/ou en cas d'atteinte extra-rhumatologique. Par contre, leur intérêt dans les formes axiales de la maladie reste discuté. Les médicaments les plus couramment utilisés sont la salazosulfapyridine (posologie habituelle : 2g par jour), les sels d'or et le méthotrexate.

Hygiène de vie

- Exercices de posture et de gymnastique à effectuer quotidiennement afin de maintenir le rachis en rectitude
- Kinésithérapie respiratoire : même si l'insuffisance respiratoire par ankylose de la cage thoracique est rarement observée, il est recommandé des mouvements pour prévenir cette complication.
- Appareillage permettant de réduire les déformations : orthèses plantaires, corsets plâtrés, attelles de postures

Chirurgie orthopédique

Les indications chirurgicales sont limitées au cours de la SA. Elles peuvent avoir lieu en cas :

- de talalgie postérieure rebelle,
- de persistance d'inflammation d'arthrite périphérique (justifiant alors une synovectomie),
- d'atteinte articulaire périphérique destructrice (justifiant alors une arthrodèse ou une mise en place de prothèse).

La chirurgie peut également être indiquée en cas d'atteinte axiale et notamment pour réparer une fracture ou pour réparer une attitude vicieuse trop prononcée (exemple : dos voûté et projection de la tête et du cou en avant telle que le patient ne peut plus voir la ligne d'horizon en face de lui).

tu aurais du poser une question sur la"spondylarthrite ankylosante" c'est le nom de cette maladie sur laquelle tu nous demandes des renseignements.
Mon mari souffre de cette maladie qui s'est stabilisée pour le moment mais il est en traitement continu avec de la "salazopyrine".
Quand il a des crises il prend du "profenid 50" pendant une semaine.
je te souhaite beaucoup de volonté et ne te laisse pas abattre et continue dans la mesure de tes moyens à vivre normalement.
Amicalement.  (+ info)

a quoi est due l'hypertrophie ventriculaire ?


le plus souvent elle est associee a une hypertention arterielle.
elle s'observe aussi dans l'insuffisance cardiaque....  (+ info)

Qu'est ce qu'une hypertrophie des vegetation?


Les végétations adenoïdes jouent normement le role de filtre et fabrique des anticorps pour éviter que les infections ne descendent sur les poumons.
Les végétations se retournent quelques fois contre l'organisme. En effet, en contact incessant avec des infections (amygdalites, rhinites), il arrive parfois qu'elles deviennent elles-mêmes le foyer d'infections. À ce moment, elles sont hypertrophiées et obstruent les trompes d'Eustache. Dans ce cas, elles peuvent causer des otites à répétition.

Aussi, les végétations hypertrophiées rendent la respiration de l'enfant plus difficile et il devra respirer par la bouche pour palier à l'obstruction du nez. Respirer par la bouche risque d'assécher les muqueuses et les irriter, causant de nouvelles infections.

Leur ablation vient enrayer ce problème, mais ce n'est pas la première solution envisagée. En effet, les médecins essayeront d'abord des traitements par immuno-stimulants, notamment à base de soufre, pour provoquer une atrophie des végétations. En cas d'échec de ce traitement et de persistance des troubles ORL, ils procèderont à leur ablation. Les médecins préfèreront aussi attendre que l'enfant ait entre 4 et 8 ans avant d'en venir à cette chirurgie.

http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://www.otites-recidivantes.infos.st/images/vegetations.jpg&imgrefurl=http://www.otites-recidivantes.infos.st/lecture.php%3Fnumero%3D11&usg=__lnEpXJl2GSMkFtvFnPLmMC0xNMw=&h=146&w=213&sz=12&hl=fr&start=2&sig2=D3FnyqPWCb8EliBGyU7HyQ&tbnid=-BfE8pKhiMsnjM:&tbnh=73&tbnw=106&ei=s-W3Se7YJpKMsQPZvI31AQ&prev=/images%3Fq%3Dvegetations%2Badenoides%26gbv%3D2%26hl%3Dfr
http://www.conseils-orl.com/rhino/rhinopharyngite/quest-ce-que-lhypertrophie1bis.htm  (+ info)

j'ai une hypertrophie de l'ovaire droit?


j'ai une hypertrophie de l'ovaire droit depuis plud d'une année,mon medecin m'a mise sous traitement de diane 35,mais un fois que j'ai terminé de le prendre les douleurs au bas ventre ont repris de plus belle et ça me donne des douleurs aux pieds et au bassin.
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slt
tu refais une echo pour visualiser l'etat de l'ovaire (dimunue, grandi ou stationnaire)
vois un gyneco
c'est peut etre un kyste et l'exerese est chirurgicale  (+ info)

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