Cas Rapportés "oreillons"
(Traduit de l'anglais par Altavista Babel Fish)

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1/114. Dysautonomia aigu après des oreillons.

    Le dysautonomia aigu ou subaigu pur est une entité rare. Son étiologie est jusqu'ici inconnu. Cependant, la majorité de ces cas ont une infection virale précédente telle que le simplex d'herpès, la mononucléose infectieuse, la rubéole ou le coxsackie B. Un patient unique dans qui le dysautonomia aigu a suivi des oreillons est rapporté. ( info)

2/114. Néphrite interstitielle d'oreillons : un rapport de cas.

    Les oreillons sont toujours une maladie commune d'enfance dans des secteurs ruraux où la vaccination d'oreillons n'est pas répandue. Une fille de 14 ans avec la néphrite interstitielle mortelle comme complication des oreillons est rapportée. Le patient n'avait pas été vacciné avec le vaccin d'oreillons et avait contracté des oreillons pendant une épidémie de village. La maladie a commencé par la parotite, et l'insuffisance rénale s'est développée dans une semaine. Le patient' ; la fonction rénale de s a rapidement détérioré et les résultats étaient mortels. L'échantillon rénal post mortem d'autopsie a démontré l'infiltration mononucléaire interstitielle de cellules, l'oedème, et les dommages tubulaires focaux de cellules épithéliales, confirmant le diagnostic clinique. Dans en voie de développement la vaccination courante d'oreillons de pays peut aider à empêcher des complications mortelles possibles des oreillons. En outre, des patients présentant des oreillons, particulièrement cas compliqués, devraient être suivis de près. ( info)

3/114. Hydrocephalus : une conséquence en retard mortelle de l'encéphalite d'oreillons.

    Le terrain communal et les maladies habituellement self-limited peuvent de temps en temps avoir des conséquences mortelles. Le Hydrocephalus est une complication très rare des oreillons, avec juste quelques cas rapportés dans la littérature. Ici nous rapportons un cas mortel de hydrocephalus présentant 19 ans après l'encéphalite d'oreillons. La longue période de latence entre l'encéphalite et les symptômes hydrocephalus-associés rend ce cas particulièrement intéressant. ( info)

4/114. Néphrite et myocardite mortelles d'oreillons.

    Le cas d'une fille de 14 ans avec la néphrite interstitielle mortelle et de la myocardite comme complications des oreillons est rapporté. La maladie a commencé par la parotite ; les symptômes rénaux se sont développés dans une semaine. Le patient' ; le statut rénal et cardiaque de s et le cours clinique ont rapidement détérioré et les résultats étaient mortels. L'échantillon rénal post mortem de biopsie a montré l'infiltration mononucléaire interstitielle de cellules, l'oedème, et les dommages épithéliaux tubulaires focaux en matériel de biopsie de rein, confirmant le diagnostic clinique. La myocardite a été déterminée par des résultats électrocardiographiques et échocardiographiques. Puisqu'on a signalé que les complications mortelles telles que la myocardite, la cardiomyopathie dilatée, et la néphrite peuvent se développer au cours des oreillons, les patients présentant des oreillons, particulièrement dans des cas compliqués, devraient être suivis de près en raison des conditions cliniques graves qui peuvent progresser. ( info)

5/114. Hemiplegia d'oreillons.

    La participation neurologique des oreillons est généralement limitée à la méningite aseptique. Cependant, rarement des oreillons sont associés à une maladie encephalitic plus grave ; d'autres associations connues décrites avec des oreillons sont des caisses de myelitis et de barre transversaux de Gullain comme la maladie. Nous rapportons un cas de hemiplegia dû à la parotite d'oreillons provoquée probablement par participation d'artère carotide. ( info)

6/114. Un cas adulte de l'encéphalite de tronc cérébral d'oreillons.

    Nous présentons un cas adulte de l'encéphalite de tronc cérébral d'oreillons. Il a été avec succès traité avec la thérapie stéroïde d'impulsion et complètement récupéré excepté la dysurie persistante. Il n'avait pas été vacciné et n'a eu aucune histoire de l'infection aiguë d'oreillons. Nous considérons que l'encéphalite dans ce cas-ci a été provoquée par un processus autoimmun réversible déclenché par l'infection d'oreillons. Nous soulignons l'utilité de la thérapie d'impulsion pour le traitement de quelques cas de l'encéphalite de tronc cérébral d'oreillons en plus de l'importance de la vaccination d'oreillons pour empêcher une complication grave telle que l'encéphalite. ( info)

7/114. Retinopathy après rougeole, oreillons, et vaccination contre la rubéole dans une fille immuno-incompétente.

    Nous décrivons une fille de 4 ans avec l'acuité visuelle inférieure à la normale due à un retinopathy bilatéral. L'enfant a eu une histoire de l'encéphalite après la vaccination de MMR. Le retinopathy provisoire s'est associé à la rougeole, oreillons, et la vaccination de la rubéole (MMR) a été décrite. Récemment un lymphocytopenia idiopathique de CD4 T dans l'enfant a été diagnostiqué. Cet immunodéficit cellulaire soutient notre hypothèse de retinopathy de rougeole après la vaccination d'un enfant immunodéficitaire. ( info)

8/114. Les anticorps neutralisants de virus d'oreillons ne se protègent pas contre la réinfection avec un génotype hétérologue de virus d'oreillons.

    En avril 1999, une femme précédemment en bonne santé de 22 ans a été prise la défectuosité avec la fièvre et le gonflement bilatéral des glandes parotides. Un cours chronique de la maladie s'étendant d'avril à décembre a été trouvé avec le gonflement des glandes parotides, fatigue, la fièvre de qualité inférieure, épisodes de tachycardie et de nightswetting. L'arn de virus d'oreillons du caractère du génotype A basé sur la classification SH de gène de protéine (petit hydrophobe) a été démontré dans trois échantillons de sérum rassemblés pendant la maladie clinique. Différents critères pour la réinfection ont été remplis comprenant la démonstration des anticorps d'IgG par elisa dans un échantillon de sérum de preinfection. Le groupe de sérum de preinfection du patient pouvait neutraliser efficacement l'infectiosité d'une contrainte hétérologue du génotype D mais ne pouvait pas neutraliser le virus homologue du génotype A. Les résultats dans la présente étude peuvent offrir une explication d'un mécanisme derrière des échecs vacciniques précédemment observés et l'occurrence de la réinfection avec des contraintes hétérologues de virus d'oreillons. ( info)

9/114. oreillons avec l'encéphalite cérébelleuse.

    Un patient masculin de 30 ans, ayant des symptômes typiques des oreillons, s'est présenté avec l'ataxie cérébelleuse aiguë pendant deux jours après le début de l'agrandissement parotide. Les symptômes neurologiques ont montré le rétablissement complet au cours des six semaines suivantes, suggestives du demyelination cérébelleux para-infectieux dû aux oreillons. ( info)

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