Cas Rapportés "Verrues"
(Traduit de l'anglais par Altavista Babel Fish)

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51/276. Verruciformis d'Epidermodysplasia.

    Les verruciformis d'Epidermodysplasia (EV) est caractérisés par le début tôt du plana étendu et persistant de verruca qui peut subir la transformation maligne. Les études immunologiques d'un cas d'EV confirmées par l'identification à microscope électronique du virus n'ont révélé aucune anomalie discernable. L'importance de ce syndrome clinique rare se situe dans sa démonstration que le papovavirus bénin, l'agent étiologique des verrues, peut produire des néoplasmes malins dans des centres serveurs génétiquement susceptibles. ( info)

52/276. Le syndrome de Cobb s'est associé (angiokeratomalike) à une malformation vasculaire verrucous.

    Le syndrome de Cobb est défini par une lésion vasculaire cutanée et une malformation vasculaire correspondante de moelle épinière dans un segment ou deux du dermatome impliqué. Quoique le syndrome de Cobb ait été rapporté en association avec de diverses lésions vasculaires cutanées, à notre connaissance, seulement un autre rapport précédent décrit les changements verrucous recouvrant la lésion vasculaire cutanée. Nous décrivons un patient avec la malformation vasculaire verrucous s'étendant de son coffre droit à son bon dos de haut dans une distribution dermatomal. Le patient' ; les antécédents médicaux de s ont inclus l'excision d'une malformation vasculaire caverneuse du segment correspondant de sa moelle épinière thoracique 4 ans d'antérieure, renversant 7 ans de faiblesse progressive de jambe et de déficits neuraux. Le syndrome de Cobb a été diagnostiqué a basé sur la malformation vasculaire dermatomally distribuée et la malformation vasculaire correspondante de moelle épinière. Ses lésions de peau au commencement améliorées avec l'erbium : Traitement de laser de YAG mais plus tard reproduit. C'est le deuxième a rapporté le cas du syndrome de Cobb lié aux changements verrucous d'angiokeratomalike recouvrant la malformation vasculaire cutanée. En raison des conséquences neurologiques potentiellement graves provoquées par des lésions de moelle épinière, les cliniciens devraient évaluer des patients avec les lésions cutanées dermatomally distribuées sur le tronc ou les extrémités, y compris les malformations vasculaires avec les configurations verrucous. ( info)

53/276. Traitement réussi des verrues faciales filiformes multiples avec de la crème de l'imiquimod 5% dans un patient infecté par le virus d'immunodéficience.

    Imiquimod, une amine d'imidazoquinoline, est approuvé pour le traitement topique des verrues anogenital externes induites par le virus de papillome humain. Plusieurs tests cliniques ont montré l'imiquimod pour être une drogue efficace et sûre pour le traitement des verrues anogenital. En conséquence, on l'a considéré que l'imiquimod pourrait être efficace sur des verrues provoquées par le même agent étiologique situé sur d'autres secteurs de peau. Nous décrivons les résultats favorables d'une caisse de verrucae faciaux multiples dans un virus d'immunodéficience (HIV) - patient infecté soigné avec de la crème de l'imiquimod 5%. C'est une promesse trouvant ce qui soutient ceux de deux rapports précédents. Nous estimons que l'imiquimod pourrait être employé dans les patients HIV-infectés avec les verrues faciales multiples dans qui les thérapies conventionnelles sont des effets secondaires significatifs inefficaces ou de produit. ( info)

54/276. Traitement de verrue plantaire avec des garnitures d'imiquimod de combinaison et d'acide salicylique.

    Le traitement des verrues plantaires est souvent difficile et peut être douloureux, souvent utilisant des modalités destructives de traitement. Nous rapportons le traitement réussi d'un patient avec une grande verrue plantaire utilisant la crème d'Imiquimod 5% sous l'occlusion avec une garniture d'acide salicylique de 40%. Cette modalité de traitement de combinaison permet probablement la livraison réussie d'Imiquimod par la peau épaisse sur la surface plantaire. Une fois que pénétré, un état antiviral est créé par upregulating des cytokines spécifiques pour supprimer le virus de papillome humain (HPV). ( info)

55/276. Traitement de verrue plantaire avec des garnitures d'imiquimod de combinaison et d'acide salicylique.

    Le traitement des verrues plantaires est souvent difficile et peut être douloureux, souvent utilisant des modalités destructives de traitement. Nous rapportons le traitement réussi d'un patient avec une grande verrue plantaire utilisant la crème d'Imiquimod 5% sous l'occlusion avec une garniture d'acide salicylique de 40%. Cette modalité de traitement de combinaison permet probablement la livraison réussie d'Imiquimod par la peau épaisse sur la surface plantaire. Une fois que pénétré, un état antiviral est créé par upregulating des cytokines spécifiques pour supprimer le virus de papillome humain (HPV). ( info)

56/276. Détection du type humain 57 de papillomavirus dans le tissu d'un kyste épidermoïde plantaire.

    Les kystes épidermoïdes plantaires avec l'infection humaine du papillomavirus (HPV) ne sont pas rares au Japon. La plupart d'entre eux exposition l'effet cytopathe du type 60 de HPV - corps d'inclusion intracytoplasmiques homogènes. Notre cas n'a présenté un kyste épidermoïde plantaire avec le vacuolation autour de la couche granulaire de cellules sans aucun dispositif du type 60 de HPV. L'amplification en chaîne par réaction in situ d'hybridation et a suivi de l'adn ordonnançant l'analyse a indiqué une association avec le type 57 de HPV. ( info)

57/276. Bullae hémorragiques après cryosurgery dans un patient présentant l'hémophilie A.

    FOND : Une caisse de bullae et de boursouflures hémorragiques sur la main d'un patient présentant l'hémophilie A après cryosurgery pour le verruca vulgaris est rapportée. OBJECTIF : Pour discuter une complication hémorragique dans un patient avec l'hémophilie A après cryosurgery cutané. MÉTHODES : C'est un rapport de cas d'observatoire. RÉSULTATS : Même le cryosurgery minimal peut induire des bullae hémorragiques dans les patients présentant la CONCLUSION de l'hémophilie A. : Les risques et les avantages du cryosurgery devraient être pesés soigneusement dans les patients présentant des désordres de saignement tels que l'hémophilie. ( info)

58/276. La pigmentation acquise de la peau se plie avec l'image histologique de la verrue seborrhoeic.

    Les antécédents sont présentés d'un femme avec les lésions acquises dans les plis axillaires, submammary, intermammary, inguinaux, genitocrural et périanaux de peau. Ces lésions étaient les macules pigmentés confluents, provoquant (nappe d'en) les corrections reticulate étendues. Changements indiqués par histoire typiques de la verrue seborrhoeic. (Nappe d'en) la verrue seborrhoeic inégale nommée est suggérée pour cette condition. ( info)

59/276. Xanthoma Verruciform de l'oreille avec la dysplasie épidermique de coexistence.

    Nous rapportons une caisse de xanthoma verruciform de l'oreille chez un homme de 79 ans. Le cas est unique parce qu'il a contenu un secteur de keratosis solaire. L'hybridation in situ utilisant les cocktails biotine-marqués de sonde pour les types humains de papillomavirus 6/11, 16/18, et 31/33/35 a donné des résultats négatifs. ( info)

60/276. Lésions Verrucous secondaires aux virus d'adn dans les patients atteints du virus d'immunodéficience en association avec les cellules dendritiques cutanées XIIIa-positives accrues de facteur. Le consortium médical militaire de recherche appliquée washington, C.C de Retroviral

    FOND : Les lésions de Hyperkeratotic provoquées par varicella-zoster, simplex d'herpès, ou cytomégalovirus se produisent dans les patients atteints du type 1 de virus d'immunodéficience (HIV-1). Nous avons également observé ce type de lésion avec le contagiosum de molluscum. objectifs : Ces cas ont été étudiés pour déterminer s'il y a des changements pathologiques uniques à ces lésions. MÉTHODES : Les cas ont été étudiés par l'examen au microscope courant et immunohistochemistry. RÉSULTATS : Chaque cas a montré le diagnostic de changements de l'infection virale, qui a été confirmée par les taches immunohistochemical pour le simplex d'herpès et le cytomégalovirus. Dans le derme il y avait moins de cellules inflammatoires que prévu, mais il y avait une augmentation en cellules dendritiques XIIIa-positives de facteur. CONCLUSION : le Varicella-zoster, le virus d'herpès simplex, le cytomégalovirus, et le contagiosum de molluscum peuvent causer les lésions verrucous dans des patients de HIV-1-infected. Ces lésions peuvent être liées à une augmentation en cellules dendritiques XIIIa-positives de facteur. ( info)
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