Cas Rapportés "Vaginite"
(Traduit de l'anglais par Altavista Babel Fish)

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1/52. Potentialisation de warfarin' ; effet hypoprothrombinemic de s avec des suppositoires vaginaux de miconazole.

    Un femme de 53 ans étant traité pour une infection de levure vaginale a éprouvé l'ecchymosis. L'évaluation de laboratoire a indiqué un temps prolongé de prothrombine. Il est possible que le saignement ait été dû à une interaction entre le warfarin et le miconazole. Les professionnels de soins de santé devraient se rendre compte du potentiel pour des interactions médicamenteuses avec le miconazole vaginal administré, particulièrement chez les femmes recevant la thérapie d'anti-coagulation. ( info)

2/52. corps étranger dans le vagin--une cause rare de vaginitis chez les enfants.

    Un corps étranger intravaginal de la longue durée peut poser le dilemme diagnostique chez les enfants. Nous présentons un cas de huit une fille et demi des années qui souffrait de la décharge vaginale souillée par sang pendant 3 années lesoù elle a été traitée par peu de gynécologues. Un examen vaginal a exécuté sous l'anesthésie générale a indiqué un corps étranger (crayon). Dans les cas du vaginitis pédiatrique on devrait toujours rechercher le corps étranger dans le vagin. ( info)

3/52. Emphysematosa de Cervicovaginitis imitant le carcinome du cervix : un rapport de cas.

    Cervicovaginitis emphysémateux est une maladie individu-limiteuse rare dans laquelle les kystes pleins de gaz multiples sont présents dans le submucosa du vagin et de l'ectocervix supérieurs. Nous rapportons un cas dans un commerçant de 40 ans qui s'est présenté avec les configurations cliniques suggestives du carcinome du cervix. On l'espère que ce rapport de cas intensifiera la conscience des cliniciens et des pathologistes en l'identification de cet état peu commun. ( info)

4/52. pneumonie éosinophile passagère secondaire à l'utilisation d'une crème vaginale.

    De diverses drogues ont été impliquées dans le développement de la pneumonie éosinophile passagère ou du Loeffler' ; syndrome de s. Nous présentons un tel cas se produisant dans un femme qui avait employé une crème vaginale sulfanilamide-contenante. ( info)

5/52. Emphysematosa de Vaginitis : CT et examen de la littérature.

    OBJECTIF : Ce rapport décrit l'aspect de CT de l'emphysematosa de vaginitis. CONCLUSION : L'emphysematosa de Vaginitis est caractérisé par les kystes pleins de gaz dans le mur vaginal, dans un modèle semblable au pneumatosis des intestins ou du réservoir souple. Ce vaginitis bactérien est bénin et self-limited et ne signifie pas la présence de la nécrose de tissu ou de l'infection représentant un danger pour la vie. ( info)

6/52. mucormycose vaginale : un rapport de cas.

    Bien que la cause de Zygomycetes représentant un danger pour la vie, infections opportunistes dans des centres serveurs immunocompromised, le premier cas du vaginitis provoqué par des espèces de Mucor dans une femme en bonne santé soit rapportée. Le vaginitis de mucor, qui a causé des symptômes doux seulement, était réfractaire à la thérapie conventionnelle d'azole et résistant au flucytosine. Le traitement a été réalisé avec de l'amphotéricine topique B. ( info)

7/52. L'emphysematosa de Vaginitis s'est associé à une souillure de PAP anormale.

    L'emphysematosa de Vaginitis est un état inflammatoire rare qui est étiologiquement lié à l'infection de trichomonal ou de gardnerella, et a été associé aux désordres immunosuppressifs. La maladie n'a pas des conséquences et des résolutions délétères sur traiter l'infection fondamentale. Nous décrivons un cas dans lequel la maladie a principalement affecté le cervix menant à une souillure de PAP anormale et à une recherche colposcopic. ( info)

8/52. Vaginitis : rapports de cas et brève revue.

    Le Vaginitis est plus souvent le diagnostic gynécologique produit par les médecins qui fournissent le premier soins aux femmes. Le diagnostic précis peut être évasif, compliquant le traitement. La plupart des experts croient que jusqu'à 90% de cas de vaginitis sont secondaires au vaginosis bactérien, à la candidiase vulvo-vaginal, et au trichomoniasis. Le diagnostic du vaginitis est basé sur le patient' ; symptômes de s, l'examen physique, les résultats de l'examen au microscope des préparations d'hydroxyde de wetmount et de potassium (KOH), et les résultats de la mise à l'épreuve de pH. Les cultures additionnelles et l'essai peuvent être nécessaires pour difficile-à-diagnostiquent des caisses. ( info)

9/52. Vaginitis atrophique de lactation.

    Le vaginitis atrophique est typiquement associé à l'état hypoestrogenic de ménopause. Cependant, la lactation également diminue des niveaux d'oestrogène et peut causer l'atrophie urogénitale symptomatique. L'examen de ce phénomène clinique dans la littérature est minimal. Un rapport de cas de vaginitis atrophique à 13 mois de puerpéral est présenté. Des mécanismes de l'action, de l'évaluation, et des traitements pour le vaginitis atrophique de lactation sont passés en revue avec des recommandations pour davantage de recherche sur cette matière. ( info)

10/52. Vaginitis de lilacinus de paecilomyces dans un patient immuno-competent.

    Le lilacinus de paecilomyces, un moule environnemental trouvé dans le sol et la végétation, cause rarement l'infection humaine. Nous rapportons le premier cas du lilacinus de P. d'isolement dans une culture vaginale dans un patient présentant le vaginitis. ( info)
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