Cas Rapportés "syndrome malin des neuroleptiques"
(Traduit de l'anglais par Altavista Babel Fish)

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1/395. Le syndrome malin Neuroleptic s'est associé à l'olanzapine.

    OBJECTIF : Le but du papier actuel est de rapporter un cas du syndrome malin Neuroleptic (nanomètres) se produisant pendant 2 jours après que l'olanzapine a été ajouté au régime de traitement d'un vieux patient présentant le désordre de Schizoaffective. Le patient a eu une histoire précédente des nanomètres liés au risperidone. IMAGE CLINIQUE : Pendant deux jours après commencement d'olanzapine, le patient s'est présenté dans un état stuporous avec la dysarthrie et a augmenté la tonalité de muscle avec cogwheeling. Son niveau de conscience a flotté au-dessus des 24 h suivant avec empirer la rigidité, le début d'une fièvre douce, tachycardie et a élevé la tension artérielle. Le criblage biochimique a indiqué la kinase nettement élevée de créatine. TRAITEMENT : Olanzapine a été cessé et le remplacement de fluide intraveineux a débuté. Des observations physiques horaires ont été incitées, de même que la surveillance régulière de sérum du niveau de kinase de créatine. RÉSULTATS : Au-dessus des 48 suivants h, il y avait amélioration clinique progressive avec la résolution de la dysarthrie, de l'ataxie, de la rigidité et de la fièvre. Le patient a été retourné à la salle psychiatrique pendant 3 jours après son admission à la salle médicale. CONCLUSIONS : La thérapie d'Olanzapine peut être associée aux nanomètres. À notre connaissance, il n'y a aucun rapport précédent de ceci dans la littérature. ( info)

2/395. Gestion de syndrome malin neuroleptic avec le médicament anticholinergique.

    Le syndrome malin Neuroleptic (nanomètres) est une réaction défavorable représentant un danger pour la vie résultant de l'utilisation des médicaments neuroleptic. Tandis que des agonistes dopaminergiques, le dantrolrene et le soin de support sont traditionnellement utilisés dans la stabilisation et la gestion des nanomètres, le médicament anticholinergique peut également montrer la thérapie efficace. Le traitement avec le médicament anticholinergique a été suggéré dans les cas des nanomètres liés à l'hyperthermie douce. Nous décrivons un cas de 17 y-vieille femelle, qui a été apporté au département de secours pour un " possible ; reaction" dystonique aigu ;. Le patient a reçu le diphenhydramine i.v. de mg 50, qui a eu comme conséquence l'amélioration du statut mental. Le patient a été réadmis à la décharge suivante du département 1 d de secours avec des symptômes semblables, mais maintenant vu le diagnostic des nanomètres. Mg i.v. de diphenhydramine 50 a été de nouveau administré et eu comme conséquence l'amélioration significative. ( info)

3/395. syndrome malin neuroleptic clozapine-associé : deux nouveaux cas et un examen de la littérature.

    FOND : clozapine s'est récemment avéré pour être associé au syndrome malin neuroleptic (nanomètres). Notre objectif est de déterminer si le clozapine cause des nanomètres, si la présentation des nanomètres clozapine-induits diffère de celle des agents traditionnels, et qui placent des critères diagnostiques permettront le plus aisément le diagnostic des nanomètres liés au clozapine. MÉTHODES : Deux nouveaux cas des nanomètres clozapine-associés sont présentés, avec des cas précédemment rapportés de la littérature, identifiée en employant une recherche de medline (1966- l'août 1998). De tous les cas, des médicaments concomitants et les périodes de lavage ont été examinés (si disponible) pour évaluer le clozapine comme cause probable des nanomètres. Des caractéristiques du clozapine et les nanomètres antipsychotique-induits traditionnels ont été comparés. Différents critères diagnostiques des nanomètres ont été appliqués aux cas pour déterminer ce qui étaient pour diagnostiquer le syndrome. RÉSULTATS : clozapine a été considéré une cause fortement probable des nanomètres dans 14 cas, une cause moyenne de probabilité dans cinq cas, et une basse cause de probabilité dans huit cas. Les dispositifs cliniques le plus généralement rapportés étaient tachycardie, changements mentaux de statut, et diaphoresis. La fièvre, la rigidité, et la kinase élevée de créatine étaient moins en avant qu'en nanomètres liés au neuroleptics classique. CONCLUSIONS : clozapine semble causer des nanomètres, bien que la présentation puisse être différente que celle des antipsychotiques traditionnels. Levenson' ; original de s et Addonizio' ; s ont été modifiés les critères étaient pour diagnostiquer des nanomètres que d'autres critères. les nanomètres clozapine-associés peuvent présenter avec peu de configurations cliniques. Les limitations sont le manque des informations détaillées fourni par plusieurs des rapports de cas et l'utilisation du " ; modified" ; critères diagnostiques pour le diagnostic rétrospectif. ( info)

4/395. Thérapie d'Electroconvulsive pour le traitement du syndrome malin neuroleptic avec des symptômes psychotiques : un rapport de cinq cas.

    Nous rapportons cinq cas de syndrome malin neuroleptic (nanomètres) avec des symptômes psychotiques traités avec la thérapie electroconvulsive (ECT). La réponse clinique a été observée dans tous les cas après la première ou deuxième session d'ECT, et les symptômes des nanomètres ont résolu par la troisième ou quatrième session. L'heure moyenne de l'ECT initial d'accomplir la résolution était de 6.0 jours. On n'a observé aucun effet secondaire d'ECT. Bien que le premier traitement des nanomètres soit pharmacothérapie utilisant des drogues telles que le dantrolene et le bromocriptine, nos résultats suggèrent qu'ECT soit une méthode thérapeutique utile pour des patients présentant des nanomètres et des symptômes psychotiques. ( info)

5/395. Un vétéran avec les changements mentaux aigus années après combat.

    Un homme de 49 ans s'est présenté avec une histoire de cinq semaines d'empirer la confusion, l'agitation, et le comportement bizarre. Selon sa mère et soeur, qui vivent avec lui, il avait inexplicablement sauté du lit pendant un jour et s'était plaint de blesser le sien en arrière. La douleur apparemment résolue dans plusieurs jours. Deux semaines plus tard, encore juste après le réveil, il avait éprouvé une période de la confusion, durant environ 15 mn. Le dernier épisode s'est produit pendant trois jours précédemment et a inclus des hallucinations vives--à de diverses heures, il a semblé croire qu'il parlait à son frère au téléphone, buvant un verre de l'eau, vidant le réfrigérateur, sautant dans un trou de tirailleur, et frappant du pied sur des serpents à sonnettes. Il a été désorienté pour chronométrer aussi bien que l'environnement. ( info)

6/395. Hypernatremia aigu et syndrome malin neuroleptic en maladie de parkinson.

    Le syndrome malin Neuroleptic est un syndrome clinique caractérisé par fièvre, rigidité de muscle, et mutism. Quelques patients présentant le syndrome neuroleptic ont pu avoir élevé des teneurs en créatine phosphokinase et des teneurs anormaux en aminotransferase de foie. Les facteurs de précipitation sont des indices importants pour le diagnostic prompt. Les facteurs de précipitation typiques incluent les agents antipsychotiques et les tranquillisants importants. En maladie de parkinson, le sevrage médicamenteux, la menstruation, et le hyponatremia sont des facteurs de précipitation. Nous rapportons un cas de syndrome malin neuroleptic dans un patient avec la maladie de parkinson et le hypernatremia. En outre, nous avons présumé que le changement soudain des concentrations en sodium du système nerveux central pourrait déclencher le syndrome malin neuroleptic dans les patients présentant la maladie de parkinson. Selon notre expérience, le syndrome malin neuroleptic est un diagnostic clinique et le diagnostic prompt évite des manoeuvres inutiles et chères. ( info)

7/395. syndrome malin Neuroleptic pendant le bas médicament neuroleptic dosé dans la psychose de premier-épisode : un rapport de cas.

    Le syndrome malin Neuroleptic (nanomètres) est un effet secondaire rare mais potentiellement mortel de thérapie de drogue antipsychotique, particulièrement des antagonistes de récepteur de dopamine. Car un rapport de dose a été postulé, on s'attendrait à ce que le bas neuroleptization de dose aide à éviter cet effet secondaire. En revanche, nous rendons compte d'une femelle de 21 ans suivant le bas traitement de fluphenazine de dose avec 2.5 mg/jour. Le patient a récupéré des nanomètres après 3 jours d'administration de dantrolene. Par la suite, la remise des symptômes psychotiques a été réalisée avec le clozapine. Au suivi de huit mois, la psychopathologie est demeurée stable et il n'y avaient plus de signes des nanomètres. ( info)

8/395. Empoisonnement aigu de basagran imitant le syndrome malin neuroleptic.

    Un homme robuste de 27 ans, sans toute histoire médicale et chirurgicale, essayée pour commettre le suicide par la consommation de 300 cc (44.1%, 132.3 g) basagran, un herbicide facilement disponible. Cet empoisonnement a eu comme conséquence le vomissement, la fièvre, suant, pipe-comme la rigidité de muscle, la tachycardie de sinus, la somnolence, le leukocytosis, le rhabdomyolysis et les dommages hepatorenal. Le traitement empirique avec le bromocriptine a été temporellement associé à la résolution des signes et des symptômes ci-dessus. Ses présentations cliniques et l'effet du bromocriptine peuvent être indicatifs ce syndrome malin neuroleptic de mimicks d'empoisonnement de basagran. ( info)

9/395. Anesthésie répétée de propofol pour un patient présentant une histoire de syndrome malin neuroleptic.

    Le syndrome malin Neuroleptic (nanomètres) est l'effet secondaire le plus sérieux produit par l'administration des drogues antipsychotiques. Les nanomètres partage beaucoup de similitudes cliniques avec l'hyperthermie maligne (MH), mais l'étiologie des nanomètres et la relation entre les nanomètres et le MH demeurent inconnue. Les régimes anesthésiques pour des patients présentant des nanomètres ne sont pas bien établis. Nous avons donné l'anesthésie répétée à un patient présentant une histoire des nanomètres subissant la thérapie electroconvulsive pour le traitement de la dépression. propofol et vecuronium ont été employés en douze sessions consécutives d'ECT sans complications. Rapportez dans ce cas-ci, nous décrivons l'utilisation répétée sûre et satisfaisante du propofol dans un patient présentant une histoire des nanomètres, et le contour nanomètres et sa relation incertaine au MH. ( info)

10/395. Traitement d'Electroconvulsive de syndrome malin neuroleptic : une revue et un rapport des cas.

    OBJECTIF : Le syndrome malin Neuroleptic (nanomètres) est un effet nuisible potentiellement mortel de médicament neuroleptic, sans le traitement satisfaisant actuellement disponible. On a anecdotique rapporté que la thérapie d'Electroconvulsive (ECT) est efficace dans son traitement. Nous passons en revue 45 rapports édités de cas d'ECT DES nanomètres et décrivons neuf nouveaux cas, pour examiner son efficacité, la probabilité des réactions défavorables, et les implications théoriques d'un tel traitement. MÉTHODE : Les auteurs avaient l'habitude medline pour identifier des rapports dans la littérature anglaise où ECT a été employé dans les cas des nanomètres suspectés. En outre, les diagrammes des patients se sont rapportés au deuxième auteur pour le traitement des nanomètres ont été passés en revue et les cas dans lesquels ECT utilisés ont été identifiés. RÉSULTATS : Les rapports de cas suggèrent qu'ECT soit efficace dans beaucoup d'individus avec des nanomètres, même lorsque la thérapie de drogue a échoué. La réponse est habituellement évidente après quelques traitements, généralement jusqu'à six. La réponse n'est pas prévisible sur la base de l'âge, du genre, du diagnostic psychiatrique ou d'aucun dispositif particulier des nanomètres comprenant la catatonie. La thérapie d'Electroconvulsive est un traitement relativement sûr en nanomètres, bien que le risque de complications cardio-vasculaires devrait être considéré. L'hyperthermie maligne due à l'anesthésie liée à ECT n'a pas été rapportée dans les patients présentant des nanomètres, et le succinylcholine a été employé sans risque excepté un rapport de fièvre et des niveaux élevés de kinase de créatine et un rapport différent de l'hypercalémie. CONCLUSIONS : La thérapie d'Electroconvulsive est le traitement préféré en nanomètres graves, cas où le diagnostic psychiatrique fondamental est dépression psychotique ou catatonie, et dans les cas où la catatonie mortelle ne peut pas être éliminée. L'efficacité d'ECT pour le traitement des nanomètres a des implications théoriques pour le rapport entre les nanomètres et la catatonie, et les mécanismes pathophysiologiques possibles qui sont à la base de ces désordres. ( info)
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