Cas Rapportés "syndrome de sevrage néonatal"
(Traduit de l'anglais par Altavista Babel Fish)

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1/29. syndrome néonatal d'abstinence suivant le cessation brusque d'allaiter.

    Le syndrome néonatal d'abstinence est vu généralement dans les enfants en bas âge nés aux femmes sur l'entretien de méthadone. Plusieurs de ces enfants en bas âge sont élevés au sein mais peu de données sont disponibles sur la distribution de la méthadone en lait maternel, en particulier pour des femmes recevant un plus grand journal de mg que 60 de doses. Nous rapportons deux enfants en bas âge qui ont semblé développer le syndrome néonatal d'abstinence, après la discontinuation brusque de l'allaitement par des femmes recevant mg 70 mg et 130 de méthadone. Des femmes sur l'entretien de méthadone sur les doses élevées devraient être conseillées sevrer l'allaitement graduellement. ( info)

2/29. Traitement de douleur lombo-sacrée grave avec des opioids pendant la grossesse dans un patient avec le tetraplegia inachevé.

    Nous rapportons un cas de douleur lombo-sacrée grave pendant la grossesse dans une femme avec le tetraplegia inachevé dû au myelitis viral. La douleur a été interprétée comme radiculopathie en présence des disques tranchés multiples. L'intervention chirurgicale n'a pas été indiquée et la physiothérapie a échoué ; donc, un traitement symptomatique de drogue avec des analgésiques oraux a été lancé. Pour réduire au minimum le dosage quotidien d'opioid de total et le risque potentiel d'un syndrome néonatal de retrait dû aux opioids, la voie de l'administration a été changée d'oral en épidural. À soulagement de douleur proportionné a été maintenu avec ce régime jusqu'à ce que la césarienne ait été nécessaire. Les symptômes de retrait néonatals après la livraison étaient doux. La douleur résiduelle a lentement diminué après la livraison et le patient pouvait discontinuer la thérapie d'opioid. L'étiologie de la douleur lombo-sacrée demeure peu claire et peut être multifactorielle. ( info)

3/29. Désintoxication ultra-rapide d'opioid de deux enfants avec la maladie cardiaque congénitale.

    Les cas de deux enfants avec la maladie cardiaque congénitale et la dépendance grave d'opioid qui ont subi la désintoxication ultra-rapide d'opioid sont présentés. Cette technique nécessite l'inversion rapide d'opioid avec le naloxone d'antagoniste d'opioid tandis que sous l'anesthésie générale. Il n'était pas techniquement difficile exécuter les procédures et les deux enfants ont été avec succès détoxifiés à la fin du procédé. En semaines suivant le procédé, le premier enfant exhibé a accéléré le neurodevelopment. La désintoxication ultra-rapide d'opioid est possible chez les enfants et peut faire prolonger un avantage neurodevelopmental par rapport à l'pour sevrer. ( info)

4/29. syndrome néonatal de retrait de paroxetine.

    Quatre nouveau-nés de limite se sont présentés dans l'utérus avec des symptômes tels que le jitteriness et l'enterocolitis de nécrose après exposition de paroxetine. ( info)

5/29. Le thrombocytosis néonatal résultant de l'utilisation maternelle de l'antischizophrène non-narcotique dope pendant la grossesse.

    Le thrombocytosis néonatal peut résulter de l'abus maternel de stupéfiant. Le cas d'un enfant en bas âge masculin est rapporté qui était né à une femme avec la schizophrénie traitée avec les drogues psychotropes non-narcotiques pendant la grossesse ; il a développé le thrombocytosis prolongé grave. Le compte de plaquette a atteint 1310 x 10 (9)/l jour 15. Ce thrombocytosis a persisté pendant trois mois. Le patient a été soigné avec le dipyridamole. Des précurseurs myéloïdes de moelle et érythroïdes normaux montrés aspirés avec un plus grand nombre de megakaryocytes. Des concentrations en plasma de l'interleukin 6 et du thrombopoietin ont été supprimées. Complication évidente du thrombocytosis ne s'est pas produite, et le compte de plaquette est tombé à dans la limite supérieure de la normale après 3 mois d'âge. Ce cas indique que le thrombocytosis peut se produire dans les enfants en bas âge soutenus aux mères traitées avec les drogues non-narcotiques de psychopharmaceutique pendant la grossesse. Le thrombocytosis dans ce cas-ci a pu avoir été induit par des facteurs autres que l'interleukin 6 ou le thrombopoietin. ( info)

6/29. syndrome néonatal de retrait après exposition dans l'utérus aux inhibiteurs sélectifs de reuptake de sérotonine.

    Les inhibiteurs sélectifs de reuptake de sérotonine (SSRIs) sont un nouveau groupe d'antidépresseur employés dans doux pour modérer des cas de dépression. Dans les études évaluant la sûreté de SSRIs pendant la grossesse, aucune augmentation des anomalies importantes n'a été rapportée. Ceci pourrait avoir mené à augmenter la prescription de dégriffés de SSRIs aux femmes enceintes. Le syndrome néonatal de retrait se produit généralement dans les enfants en bas âge exposés pendant le troisième trimestre aux drogues connues pour causer le penchant. Nous rapportons cinq cas de syndrome néonatal de retrait après exposition dans l'utérus du troisième trimestre SSRI. Dans trois cas la mère a employé le paroxetine dans les doses de 10 à 40 mg, un mg utilisé par mère du citalopram 30, et un mg du fluoxetine 20 de mère. Les symptômes de retrait se sont produits dans peu de jours après naissance et ont duré jusqu'à un mois après naissance. Quatre du traitement nécessaire d'enfants en bas âge avec la chloropromazine. Les symptômes étaient irritabilité, tonus constant de pleurer, trembler, être augmentée, mangeant et des convulsions de sommeil des difficultés et. CONCLUSION : Le syndrome néonatal de retrait peut se produire après exposition dans l'utérus du troisième trimestre SSRI. Davantage de recherche devrait se focaliser dessus s'il est sûr d'employer SSRIs pendant le dernier trimestre. Tous les nouveau-nés exposés à SSRIs pendant le dernier trimestre devraient être continués étroitement pour des symptômes de retrait après naissance. ( info)

7/29. Méthadone et thrombocytosis néonatal.

    Le traitement maternel avec de la méthadone induit parfois un retrait néonatal de tard-début dans la progéniture. Thrombocytoses dans le nouveau-né sont très rare et parfois sont induits par la méthadone. T' ; des nouveaux-nés hese doivent être admis pendant au moins 2 semaines et leurs comptes de plaquette doivent être surveillés. ( info)

8/29. OxyContin et syndrome néonatal d'abstinence.

    Les Opioids sont une classe généralement maltraitée des drogues. L'abus d'OxyContin, un dérivé long-acting d'oxycodone, a été de plus en plus identifié en tant que narcotique efficace ayant pour résultat la dépendance à l'égard de la drogue, le surdosage et même la mort. L'utilisation pendant la grossesse peut avoir comme conséquence des symptômes de retrait dans le nouveau-né. Cependant, la détection de la drogue et de ses métabolites a besoin de méthodes spéciales afin de lancer la thérapie appropriée. ( info)

9/29. Résultats néonatals après l'entretien de buprenorphine pendant la conception et dans toute la grossesse.

    objectifs : Pour évaluer les effets du traitement maternel de buprenorphine à la conception et pendant la grossesse sur des nouveau-nés en termes de résultats de naissance et syndrome néonatal d'abstinence (NAS). CONCEPTION ET ARRANGEMENT : Éventuel, préliminaire, entretien de patient, étude de rapport de cas, entreprise à la consultation externe de toxicomanie à l'hôpital Vienne d'université. PARTICIPANTS : Deux femmes enceintes buprenorphine-maintenus qui avaient conçu pendant le traitement de buprenorphine. Les deux patients avaient précédemment donné naissance aux nouveau-nés en bonne santé après induction dessus à la thérapie d'entretien de buprenorphine dans le deuxième trimestre. MESURES : Mères : analyse d'urine. Nouveau-nés : âge gestational à la livraison, aux points d'Apgar, au poids de naissance, à la longueur et au NAS (balance de Finnegan). RÉSULTATS : Les analyses d'urine étaient négatives pour les deux femmes pendant 25 et 38 mois, respectivement, au cours de la période de grossesse. Il n'y avait aucune complication pendant la grossesse. Les nouveaux-nés livrés par les deux femmes étaient en bonne santé, les résultats de naissance étaient dans les marges normales et il n'y avait aucun symptôme de NAS exigeant le traitement. CONCLUSIONS : À notre connaissance c'est le premier rapport détaillant les grossesses des femmes traités avec le buprenorphine à l'heure de la conception et étudiés dans une étude éventuelle. Le NAS remarquable dans les nouveau-nés soutenus aux mères buprenorphine-maintenues semble être moins grave que le NAS observé dans les nouveau-nés soutenus aux mères méthadone-maintenues. Ces données préliminaires indiquent que, dans notre cohorte patiente, l'entretien de buprenorphine à l'heure de la conception et pendant la grossesse n'a pas semblé affecter des mesures de résultats de naissance telles que des complications de grossesse, la semaine de la livraison, le poids de naissance, la longueur, le ph ombilical ou le progrès neurodevelopmental. De futures études éventuelles avec de plus grandes populations d'étude sont justifiées. ( info)

10/29. Amélioration des résultats de traitement dans les femmes opiacé-dépendants enceintes.

    Des résultats pour 6 sujets opiacé-dépendants méthadone-maintenus enceintes dans le traitement augmenté ont été comparés à ceux de 6 femmes recevant l'entretien conventionnel de méthadone. Le traitement augmenté s'est composé du soin prénatal hebdomadaire, des groupes d'empêchement de rechute, du criblage trois fois hebdomadaire de toxicologie d'urine avec les récompenses positives d'éventualité pour l'abstinence, et des soins des enfants thérapeutiques pendant les visites de traitement en plus du traitement comme d'habitude. Traitement en tant que méthadone quotidienne incluse habituelle, groupe conseillant, et criblage aléatoire de toxicologie d'urine. Étudiez les patients a différé du groupe de comparaison de trois manières importantes, en ayant peu d'écrans de toxicologie d'urine positifs pour les substances illicites (59% contre 76%), trois fois autant de visites prénatales (8.8 contre 2.7), et enfants en bas âge plus lourds (poids de naissance médian, 2959 contre 2344 grammes). Ces résultats suggèrent que le traitement augmenté de drogue puisse améliorer des résultats de grossesse et, en particulier, pour réduire le bas poids de naissance à cette population à haut risque. ( info)
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