Cas Rapportés "Hépatite B Chronique"
(Traduit de l'anglais par Altavista Babel Fish)

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1/181. Hépatite chronique B et maladie neurogène de muscle : rapport de cas.

    Un garçon de 17 ans avec l'hépatite chronique B qui a développé le gaspillage gauche-dégrossi de muscle est rapporté. Quand d'autres maladies connues possibles comme cause de la maladie neurogène de muscle ont été exclues on l'a présumé qu'il y avait une relation entre l'infection chronique de l'hépatite B et la maladie neurogène de muscle. Une immunopathogenèse a pu être expliquée par la présence de HBsAg dans le fluide spinal cérébral. ( info)

2/181. Angiosarcome hépatique primaire : rapport d'un cas comportant l'exposition arsenicale environnementale.

    L'angiosarcome hépatique est une tumeur maligne rare avec un cours rapidement mortel. C'est devenu un sujet d'intérêt en raison de son rapport intime avec les carcinogènes environnementaux, tels que le bioxyde de thorium (Thorotrast), le monomère de chlorure de vinyle, et l'arsenic. Nous décrivons un cas d'un porteur extérieur chronique d'antigène de l'hépatite B, avec une histoire de 20 ans d'exposition environnementale aux herbicides et aux bactéricides agricoles arsenicale-contenants, qui ont développé un angiosarcome hépatique. Il est mort en raison de la rupture de l'angiosarcome hépatique avec le hemoperitoneum aigu 9 semaines après diagnostic initial. C'est une caisse rare de sarcome hépatique primaire, particulièrement dans taiwan où le carcinome hepatocellular est endémique. Ce cas sert non seulement à démontrer plus du rapport entre l'angiosarcome et l'exposition hépatiques d'arsenicale, mais démontre également le point clé dans le diagnostic différentiel des tumeurs de foie. La connaissance accrue de cette maladie facilitera le diagnostic et l'aide corrects pour améliorer la gestion de la condition à l'avenir. ( info)

3/181. Hepatocellular-cholangiocarcinome combiné. Défi diagnostique dans la biopsie fine hépatique d'aspiration d'aiguille.

    OBJECTIF : Pour étudier les dispositifs cytohistologic du hepatocellular-cholangiocarcinome combiné (CHCC-CC) en matériel fin de la biopsie d'aspiration d'aiguille (FNAB). CONCEPTION D'ÉTUDE : Six cas hépatiques de FNAB avec les blocs de cellules (cinq) et les résections hépatiques (deux) ont été analysés cytohistologically et immunohistochemically. RÉSULTATS : Les six caisses ont été diagnostiquées comme CHCC-CC basé sur la corrélation clinicopathologic. cellules hepatocellular claires du carcinome (HCC) correspondant à Edmondson et à Steiner' ; des lésions de la catégorie 3 de s ont été identifiées dans le FNAB dans trois exemples. L'adénocarcinome, représenté par les cellules colomnaires cohésives avec l'ovoid, les noyaux basiques montrant palisading nucléaire, les acines et/ou les structures papillaires avec la production intracytoplasmique variable de mucine intraacinar ou de brosse de frontière, a été identifié dans tous les cas. Des cellules intermédiaires avec configurations cytologiques hybrides/polymorphes écartant les jambes les hepatocytes malins et les cellules glandulaires ont été identifiées dans cinq exemples. L'alpha-fetoprotein de tissu était négatif. Il y avait frontière de brosse et/ou d'immunoreactivity p-carcinoembryonic cytoplasmique diffus d'antigène dans les éléments glandulaires. CONCLUSION : Le diagnostic de FNAB de CHCC-CC est possible si les résultats cliniques, cytohistologic et immunohistochemical soutiennent la présence de HCC et d'adénocarcinome. Les cellules intermédiaires lancent un grand défi pour reconnaître et définir : elles tendent à perdre les dispositifs cytologiques classiques des hepatocytes malins et à acquérir des caractéristiques glandulaires. Pour le moins, il devrait y a un index élevé de soupçon. Ces cas soulignent la nécessité pour la corrélation clinicopathologic en augmentant la précision des diagnostics de FNAB. ( info)

4/181. Thérapie antiretroviral très active employée pour traiter l'hépatite concourante B et les infections de virus d'immunodéficience.

    Nous rapportons un cas de l'infection simultanée avec le virus de l'hépatite B (HBV) et le type 1 de virus d'immunodéficience (HIV-1) chez un homme homosexuel japonais de 26 ans. Il a été admis à notre hôpital pour l'hépatite aiguë provoquée par HBV. À ce moment-là, HIV-1antibody (ab) n'a pas été détecté en son sérum. Après 6 mois, il a été réadmis à notre hôpital pour davantage d'examen de son foie en raison des anomalies confinées d'enzymes de foie. anti-HIV ab a été détecté en son sérum par l'analyse d'immunosorbant d'enzymes (l'EIE) et l'agglutinement de particules (PA). Son niveau d'arn du sérum HIV-1 était 50 x 10 (4) copies/ml et niveaux de sérum de l'adn polymérase de HBV (DNA-P) et de l'adn de HBV étaient 6535cpm et 3 positifs (> ; 1000 copies/ml). Ses données de cours clinique et de laboratoire ont suggéré la progression d'aigu à l'hépatite chronique liée au coinfection avec HIV-1. Le diagnostic était hépatite active chronique provoquée par HBV comme infection opportuniste due au coinfection avec HIV-1. Nous avons commencé la thérapie antiretroviral très active (HAART) parce que la thérapie de l'interféron (IFN) était inefficace. HAART a été commencé à un premier dosage l'indinavir le lamivudine de mg 600 du zidovudine de mg (AZT), 300 (3TC), et de mg 2400 (IDV) quotidiennement. Après 4 semaines, le niveau de sérum de l'adn-polymérase de HBV (p) avait diminué nettement à 37cpm et cela de l'arn HIV-1 avait diminué à au-dessous du seuil de sensibilité, indiquant la suppression considérable de la réplique de ces virus par le traitement. Mais l'adn de HBV est restée aux niveaux bas. Bien qu'on ait rapporté que l'incidence de l'infection de HBV dans les patients présentant l'infection HIV-1 soit haute les Etats-Unis et en europe, l'infection HBV et HIV-1 simultanée menant à l'infection persistante de HBV est rare. ( info)

5/181. Traitement réussi d'hépatite virale chronique decompensated par le vaccin bursal de virus de la maladie.

    Trois cas des femmes avec l'inflammation chronique de foie provoquée par l'hépatite B (deux) et les infections virales de C (un), ont été continués à douze ans après diagnostic. Car la thérapie conventionnelle était inefficace et les patients progressaient dans l'affection hépatique decompensated, ils superinfected avec les doses massives d'une variante atténuée (MTH-68/B) du virus Bursal aviaire apathogenic de la maladie (un virus bicaténaire d'arn du famille de birnaviridae). Des symptômes cliniques et les anomalies biochimiques ont été résolus dans deux patients après peu de mois de traitement de virus. La cirrhose a été stabilisée et l'amélioration clinique significative a été réalisée dans le troisième patient--qui avant que la thérapie de virus ait été moribonde avec se reproduire, ascite diurétique-résistante, bleedings variceal, encéphalopathie portique et échec rénal. À notre connaissance, ce sont les premiers ont enregistré les cas de l'hépatite virale chronique decompensated qui sont allés à la remise durable ou ont été stabilisés par superinfection avec un virus apathogenic. ( info)

6/181. L'effet en avant de la thérapie de plasmapheresis d'immunoadsorption dans un patient présentant la polyneuropathie demyelinating inflammatoire chronique s'est associé à l'infection de l'hépatite B.

    Nous avons rencontré un patient présentant la polyneuropathie demyelinating inflammatoire chronique liée à l'infection de l'hépatite B. L'étude d'Immunohistochemical a indiqué le dépôt du complexe immun composé d'antigène extérieur de l'hépatite B (HBsAg) autour du capillaire endoneural et dans l'endoneurium. Des signes neurologiques ont été sensiblement améliorés par traitement du plasmapheresis d'immunoadsorption (IAPP) sans thérapie de incorporation d'hormone de corticostéroïde ; le long terme hebdomadaire IAPP a avec succès maintenu le patient' ; état de s. ( info)

7/181. Évolution rapide d'hépatite virale chronique dans le carcinome hepatocellular après traitement de bêta-interféron.

    Un homme de 62 ans, affecté par l'hépatite active chronique (découverte en 1993) et traité avec de l'interféron, s'est référé à notre département avec le volume abdominal accru, la douleur abdominale persistante, la fièvre continu-rémittente et l'ictère. Le balayage de CT du foie a indiqué un hypodense, formation non capsulated, infiltrative, pleine dans le lobe droit. Les USA ont guidé les cellules géantes multinucleated montrées par biopsie, avec le cytoplasme éosinophile et le pleomorphism des noyaux, chargés dans les plusieurs la trabécule épaisse rayée par les cellules endothéliales ou la bile formée contenant des acines. Dans notre cas, l'évolution rapide de l'hépatite virale chronique vers HCC réclame une évaluation soigneuse du rôle de la thérapie d'IFN, puisque cette drogue est employée couramment dans des affections hépatiques chroniques. ( info)

8/181. Une cause peu commune de douleur dorsale.

    Ce cas décrit ce qui peut devenir un problème clinique de plus en plus commun en Australie en tant que proportion de notre population à l'origine dérivée d'Asie du Sud-Est, des âges. Notre patient était d'origine chinoise et a été présenté avec douleur dorsale qui s'est par la suite avérée due à la maladie métastatique d'une tumeur hépatique autrement silencieuse, en association avec l'infection chronique non reconnue de l'hépatite B. ( info)

9/181. Traitement antiviral pour des patients de virus d'immunodéficience Co-infectés avec le virus de l'hépatite B : effet combiné pour les deux infections, un but procurable ?

    Un grand pourcentage des patients du virus d'immunodéficience (HIV) ont l'évidence sérologique d'a après ou présentent l'infection de virus de l'hépatite B (HBV). La survie à long terme augmente pour des patients d'HIV en raison de la thérapie antiretroviral très active. Par conséquent, l'infection chronique de l'hépatite B peut devenir une cause déterminante importante des résultats de la maladie dans ces patients Co-infectés. Nous décrivons deux patients Co-infectés par HIV/HBV qui ont été soignés avec la thérapie antivirale prolongée, au commencement indiqués pour l'infection par le HIV. lamivudine, un dispositif antiparasite de réplique virale dans les deux infections, était l'une de ces drogues antivirales. Un patient a montré un rebond grave du HBV après retrait de lamivudine, l'autre patient a développé un virus de l'hépatite B de mutant après 18 mois de traitement. Cette mutation a été exclusivement induite par lamivudine. Ces patients prouvent que, avec la survie HIV-connexe améliorée, l'infection de HBV devrait être surveillée soigneusement, permettant de ce fait au médecin d'interférer la thérapie si nécessaire. ( info)

10/181. Un mutant original de suppression d'antigène de surface de virus de l'hépatite B.

    HBsAg est le marqueur sérologique le plus important pour l'hépatite aiguë ou chronique B. Néanmoins, il y a des rapports des porteurs HBsAg-négatifs de virus, ou avec anti-HBc comme seul marqueur pour l'infection ou même le positif du virus de l'hépatite B (HBV) pour anti-HBs et anti-HBc. Nous rapportons des isolats d'un patient, dans lequel une suppression dans le HBs-gène a été associée à la virémie de persistance en présence d'anti-HBs. La femelle de 62 ans, infectée très probablement par son mari, a eu les marqueurs discernables de l'hépatite active chronique B, tel que HBsAg, HBeAg, et anti-HBc-IgM, pendant 2 années. Le patient seroconverted alors à anti-HBs, bien que HBeAg et anti-HBc-IgM restés discernables. Actuellement, l'amplification en chaîne par réaction semi-quantitative a montré environ 10 (4) les génomes viraux par millilitre de sérum. L'ordonnancement direct des produits amplifiés a indiqué une population importante des molécules d'adn avec une suppression du nucléotide 31 du HBs-gène, qui jusqu'ici n'a pas été décrit. Cette suppression a mené à un déphasage et a présenté un arrêter-codon après 21 acides aminés du sHBsAg. Nous suspectons que cette suppression, et le HBsAg en résultant manquant des épitopes principaux identifiés par les anticorps spécifiques, pourraient favoriser la réplique virale continue, en dépit de la présence d'anti-HBs. Cependant, parce que l'armature de lecture de la polymérase a été également sévèrement endommagée par cette suppression, on le suppose qu'une population mineure des génomes intacts était présente pour aider dans la formation des particules de virus. ( info)
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