Cas Rapportés "Ciguatera"
(Traduit de l'anglais par Altavista Babel Fish)

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21/37. Polyneuropathie secondaire à l'empoisonnement de ciguatoxin.

    L'ingestion suivante des poissons de mer en Thaïlande ce patient s'est plainte des perturbations gastro-intestinales et neurologiques, marqué par grave, principalement moteur, la polyneuropathie demyelinating, qui a empiré sur son retour vers l'Italie quelques jours plus tard. Le modèle clinique, l'électromyographie, l'essai de fluide céphalo-rachidien et la biopsie sural de nerf par electronmicroscopy ont permis le diagnostic de la polyneuropathie secondaire à l'empoisonnement de ciguatoxin. ( info)

22/37. Traitement réussi de l'empoisonnement de poissons de ciguatera avec du mannitol intraveineux.

    Vingt-quatre patients présentant l'empoisonnement aigu de poissons de ciguatera ont été soignés avec du mannitol intraveineux, et chaque patient' ; état de s amélioré spectaculairement. Tous amoindrissement marqué exhibé du dysfonctionnement neurologique et musculaire dans des minutes de l'administration du mannitol. Les symptômes gastro-intestinaux ont disparu plus lentement. Deux patients dans le coma et un dans le choc ont répondu dans des minutes, avec le plein rétablissement après infusion. Bien que ces observations aient été empiriques et non contrôlé et le mécanisme de l'action du mannitol dans cette maladie est peu clair, le mannitol devrait être considéré pour l'usage initial dans les patients présentant la maladie et la morbidité significatives de l'empoisonnement de poissons de ciguatera. ( info)

23/37. ciguatera-comme l'empoisonnement dans le méditerranéen.

    Un cas de l'empoisonnement de groupe de la consommation du salpa de Sarpa de poissons, attrapée dans les eaux côtières méditerranéennes de l'Israël, est présenté. Les mulets et le rabbitfish ont attrapé au même emplacement n'ont causé aucun mal. C'est le troisième cas de l'empoisonnement de ciguatera dans la région et la première à transférer par un poisson qui n'est pas un immigré de la Mer Rouge. Il implique que les dinoflagellates toxiques d'algues, provenant de la Mer Rouge, ont croisé le canal de Suez et ont trouvé leur chemin aux eaux côtières méditerranéennes. ( info)

24/37. Traitement de l'empoisonnement de poissons de ciguatera avec l'amitriptyline et le nifedipine.

    L'empoisonnement de poissons de ciguatera est l'empoisonnement de poissons le plus commun aux Etats-Unis. Les symptômes impliquent les systèmes gastro-intestinaux, cardio-vasculaires et neurologiques. Aucun traitement connu n'existe. Nous explorons l'effet thérapeutique de l'amitriptyline dans deux patients et du nifedipine dans un patient. Résolution démontrée par amitriptyline de la plupart des symptômes excepté la chaleur/inversion froide dans un patient et la chaleur/l'inversion, le prurit et mal de tête froids dans le deuxième patient. Nous avons alors employé le nifedipine dans le deuxième patient et avons noté seulement la résolution de ses maux de tête. Nous recommandons davantage d'étude de ces agents pour le traitement de l'empoisonnement de poissons de ciguatera. ( info)

25/37. Empoisonnement de ciguatera : un rapport de trois cas.

    L'empoisonnement confirmé de ciguatera est rapporté dans trois adultes canadiens qui ont ingéré le mérou importé de la Floride. Deux ont exigé l'hospitalisation pour la gestion des perturbations gastro-intestinales, neurologiques, et cardio-vasculaires marquées. En dehors de des secteurs endémiques, l'identification de ce type d'empoisonnement de poissons peut être insatisfaisante. La pathogénie, le diagnostic, et la thérapie de la maladie sont décrits. ( info)

26/37. Les signes neuro--ophthalmologiques de l'empoisonnement de ciguatera : un rapport de cas.

    Vingt-quatre heures après l'ingestion du mérou noir, des paresthesias de bas-extrémité, laissés la douleur retrobulbar, le pruritis, la diarrhée, et la fréquence urinaire développée dans une femme de 57 ans. Sur une période de trois mois, ses symptômes graduellement ont résolu complètement. Un examen des manifestations systémiques et neuro--ophthalmologiques de l'empoisonnement de ciguatera est présenté. ( info)

27/37. Observations cliniques sur 3.009 cas de ciguatera (empoisonnement de poissons) dans le South Pacific.

    Des observations cliniques sur le ciguatera ont été rassemblées entre 1964 et 1977 sur 3.009 patients de plusieurs groupes d'île de South Pacific. Les patients se sont généralement présentés avec des symptômes neurologiques tels que le parasthesia, le vertige, et l'ataxie, en plus des symptômes gastro-intestinaux tels que la diarrhée, la douleur abdominale, la nausée, et le vomissement. Les patients présentant cette maladie habituellement sont devenus symptomatiques moins de 24 heures après l'ingestion des poissons et de la plupart des patients (76.8%) ont développé des symptômes en moins de 12 heures. Des différences significatives dans certains symptômes ont été notées entre mélanésien et les groupes ethniques polynésiens, suggérant une différence de susceptibilité, ou une différence en forme de la toxine a trouvé dans différents secteurs du Pacifique. Étant empoisonné des périodes multiples a semblé avoir comme conséquence une maladie médicalement plus grave que la maladie observée dans les patients l'expérience du ciguatera pour la première fois. ( info)

28/37. Empoisonnement de poissons de ciguatera. Une épidémie méridionale de la Californie.

    L'empoisonnement de poissons de ciguatera résulte de la bioconcentration d'une série de toxines produites par les dinoflagellates marins. Les signes et les symptômes varient considérablement, mais il présente habituellement en tant que plaintes gastro-intestinales et neurologiques commençant peu de temps après l'ingestion des poissons contenant les toxines. Les symptômes peuvent persister pendant des mois et parfois même des années. Bien que des cas aient été rapportés dans l'ensemble des Etats-Unis, les épidémies sont les plus communes le long des côtes tropicales et subtropicales et impliquent habituellement l'ingestion de grands poissons carnivores. Nous passons en revue la littérature et rapportons que la première épidémie de 25 cas d'empoisonnement de poissons de ciguatera présentant aux hôpitaux de secteur en Californie méridionale qui ont été avec succès dépistés par le département des services de santé et localisés dans des poissons a attrapé outre de la côte de Californie, Mexique. ( info)

29/37. Empoisonnement grave de ciguatera au madagascar : un rapport de cas.

    Dans une manifestation simple sur la Côte Est du madagascar, plus de 500 personnes, 98 de qui sont morts, ont été empoisonnées par la chair d'un requin, amboinensis de Carcharhinus. Des symptômes cliniques il peut conclure que cet empoisonnement est dû aux toxines de ciguatera. C'est le premier cas d'une manifestation grave provoquée par un requin, et c'est le premier cas avec un taux de mortalité de 20%. ( info)

30/37. Le premier a rapporté le cas du ciguatera humain probablement dû à un saumon ferme-cultivé.

    Cette étude est un rapport individuel de cas d'un saumon cultivé importé qui a pu avoir causé le ciguatera. L'individual' ; s a documenté des symptômes cliniques, avec nos essais immunologiques et les essais biologiques (hémolytiques, toxicité de souris et analyses atriales de cobaye) des extraits de saumons, suggèrent fortement que les saumons aient pu avoir contenu a ciguatoxin-comme la toxine (ou les toxines). La capacité unique des toxines de bloquer le canal de sodium de l'oreillette de cobaye, cependant, la distingue de ciguatoxin-1 d'isolement dans le foie d'anguille de moray. ( info)
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